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Les vacances de Romain (3)
Datte: 29/07/2021, Catégories: Inceste / Tabou
... grosse trainé Elle passe alors sa main, qui s’affairait sous elle, par-dessus son corps et elle s’applique deux doigts directement dans son cul à mon plus grand étonnement - Non mon salop, si tu veux défoncer mon cul il va falloir m’enculer ! Je ne lui laisse pas le temps et je lui arrache les deux doigts qu’elle s’était enfoncée sans trop de difficultés. Je positionne directement ma queue sur sa rondelle et pousse au tréfonds de ses entrailles. Elle grogne et gémit suite à cette intromission quelque peu brutale. - La vache ! Tu viens de me détruire le cul. Il est vrai que la longueur de ma colonne de chaire peine à rentrer mais je ne lui laisse pas le temps de souffler et je pousse pour lui en rentrer un maximum. - Putain mon salaud qu’est que tu me mets ! J’entame mon va-et-viens culier en accélérant le rythme. Elle semble y prendre gout et en redemande. - Humm… voilà, là tu me défonces bien le cul. Aller, n’ai pas peur de me faire mal tu peux y aller. Encule-moi comme une truie putain ! - Tu vas voir ma salope demain tu ne vas plus pouvoir marcher. T’es vraiment la plus belle salope que j’ai connue. - Et encore t’a rien vu alors arrête de jacasser et lime moi le cul bordel. DÉFONCE MOI ! Elle crie ces derniers mots alors que j’ai gagné quelques centimètres dans son cul qui semble sans fond. Mon rythme de défonce à presque attend celui que j’avais dans sa chatte. Je lui martèle le cul. Elle continue de gémir de plaisir et tout en s’activant sur sa chatte. Je la sens ...
... jouir sans discontinuer pendant plusieurs secondes. Je sens sa cyprine sortir en jet contre mes cuisses. J’ai une véritable nymphomane qui ferait pâlir les plus grosses salopes du porno devant moi. Et c’est ma mère bordel ! Je ne suis pas un dieu et je commence moi aussi à sentir le plaisir monter. Je sens que mon corps va lâcher tout ce désir d’un instant à l’autre. - Tu vas me faire jouir dans ton cul ma salope ! - Vas-y, crache tout pour ta salope de mère, retapisse-moi les boyaux mon salop. Tu peux y aller, lâche tout au fond de ta trainée mon chéri. Ces derniers mots finissent de m’achever. Je déverse pour la deuxième fois de la soirée une quantité incroyable de foutre malgré ma première éjaculation. Je jouis dans son cul sans pouvoir m’arrêter. Tout mon corps se relâche et dans un dernier effort je découle de son troue devenu béant et suintant de nos sécrétions. Nous nous écroulons sur le transat l’un contre l’autre Je suis comme déconnecté de la réalité pendant quelques secondes. Quand je commence à me rendre compte de ce qu’il vient de se passer ma mère c’est déjà levé pour aller se plonger dans la piscine. Je n’en reviens toujours pas et je reprend petit à petit mes esprits. Elle nage un peu puis se pose sur le bord de la piscine et me dit : J’espère qu’en plus d’aimer le sexe hard tu as de grosses envies parce qu’après avoir vu une partie de ton potentiel il va m’en falloir plus… Je n’ai plus besoin de réfléchir et tout naturellement je lui dis : t’es vraiment qu’une ...