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Dans un autocar un jour d'orage
Datte: 29/07/2021, Catégories: Entre-nous, Hétéro
Cet après-midi de juillet il fait beau mais l'atmosphère est lourde. Je m'habille, outre le string et le soutien-gorge avec des bonnets sans coque, d'une jupe en tissu léger, d'un maillot moulant et de nu-pieds. Je me rends chez mon amie Céline en traversant une partie de la ville en bus puis comme elle habite à l'extrémité de la ville je dois faire le reste du trajet à pieds. Pendant cette dernière partie du parcours un orage éclate et rapidement je suis trempée des pieds à la tête, mes vêtements collent à ma peau. Je frissonne, j'ai la chair de poule et les tétons de mes seins sont érigés et bien visibles à travers le maillot. Plus très loin de chez Céline je décide de continuer ma route, elle me prêtera bien quelques habits. Je passe le long de la zone industrielle, des autocars sont garés sur le parking d'une usine, ils amènent les ouvriers qui commencent à 13h30 et attendent ceux qui débauchent à 17h. Souvent des conducteurs discutent en groupe et me draguent ou lancent des blagues quand je passe. Je souris mais continue mon chemin. La porte d'un car s'ouvre et une voix me hèle: <<viens te mettre à l'abri, l'orage n'est pas près de s'arrêter>>. C'est Cédric un homme brun, grand, pas mal de sa personne. Désorientée par ce qui m'arrive je me dirige sans hésiter vers le véhicule et monte dedans. Cédric ferme la porte, met le chauffage en marche. Il retire un sac du porte bagages, en sort deux serviettes qu'il me tend. <<vas dans le fond, retire tes habits et sèches toi>>. ...
... Dans l'état ou je suis je ne réfléchis plus, arrivée à l'arrière du car sans hésiter je retire mon maillot et ma jupe puis je commence à m'essuyer. Je n'ai pas entendu Cédric s'approcher derrière moi, il prend mes vêtements et les dispose à côté d'une bouche de chauffage puis il commence à me frictionner à l'aide d'une seviette les épaules puis le dos. Je reste muette et le laisse faire. Conforté par mon attitude il s'attaque à d'autres parties de mon corps comme les fesses et le ventre. <<tu ne peux pas garder ton soutien-gorge, il est trempé>>. Tout en disant cela il le dégrafe et l'enlève puis il me frictionne la poitrine. Je ne dis toujours rien mais des envies envahissent mon ventre. Je ne suis pas plus bavarde quand sa serviette atteint de nouveau mes fesses et qu'il fait descendre mon string, je lève les jambes pour qu'il le retire. Après avoir posé mes sous-vêtements près d'une bouche de chauffage il essuie avec application mes fesses, mes cuisses et enfin mon sexe enhardi par le fait que je ne proteste toujours pas. Je ne suis plus en état de réfléchir car des envies de sexe ont pris le dessus. Il me couche sur le ventre sur la banquette et me frictionne longuement le corps et les fesses avec ses mains. Il me demande de me retourner, je m'allonge sur le dos sans discuter. Il frictionne puis caresse mes seins et agace les tétons qui sont toujours érigés, je frissonne. Une main caresse mon ventre puis descend sur mon sexe. Machinalement j'écarte les cuisses. <<C'est ...