Drague dans le métro (5)
Datte: 29/07/2021,
Catégories:
Voyeur / Exhib / Nudisme
... tâter, la caresser, soupeser les couilles. –Oui, je la veux. Elle se retourne vers sa sœur. –Tu choisi laquelle Annie ? Elle désigne la bite de Gabriel. En fait, elles ont choisi les deux plus grosses bites de la bande. Ce sont des gourmandes. Tout le monde s’écarte, les banquettes sont libres. Annie se couche sur le dos, Gabriel s’avance, mais sa sœur l’arrête. –D’abord se préparer. Elle se couche sur sa sœur tête bêche et entame un soixante-neuf. On voit qu’elles ont l’habitude de se faire du bien, leurs gestes sont précis, je me penche un peu pour voir la langue d’Annie titiller le clitoris de sa sœur. Au bout d’un moment, elles se lèvent, s’allonge chacune sur une banquette en écartant légèrement les jambes. De là ou je suis, je peux voir leurs vulves ruisselantes de cyprine, il va en falloir pour faire glisser les engins qu’elles vont se prendre dans le con. Jérémy et Gabriel leurs monte dessus et présentent leurs glands à l’entrée de leurs sexes. La rame entre dans une station. Trois personnes sur les quais, une entre dans le wagon. Le visage d’Annie est serein, elle savoure au maximum cette bite, elle sait qu’elle ne rencontrera pas souvent des bites de cette taille. Sa sœur, elle, a un peu plus de mal. Jérémy entre doucement, mais à chaque avancée, elle a le souffle coupé, elle ouvre la bouche comme pour reprendre de l’air. –Oh là là, quel morceau, vas-y doucement, mais vas-y en continu, j’aime sentir ma chatte au bord de l’explosion. Jérémy s’enfonce de plus en ...
... plus pour arriver au bout de sa bite. –Il me touche le col, je la sens sur mon utérus. Vas-y, baise moi, fait coulisser ton engin, je veux me sentir défoncée. Son copain la regarde sidéré, je pense que c’est la première fois qu’il l’entend parler comme ça. Il prend son appareil photo et commence à la prendre. Moi, je n’y tiens plus, j’avise l’homme en djellaba, il a relevé sa djellaba et se masturbe doucement, je prends sa bite dans la main et m’avance au milieu du couloir, la bite et l’homme qui est au bout me suivent. Je m’appuie sur le côté d’une banquette en restant au milieu du couloir. Il comprend et se positionne derrière moi me prend les hanches et glisse son gland entre mes fesses. Je sens sa bite s’enfoncer, son gland proéminent me laboure le tuyau. Il me pistonne avec ardeur, mais il devait être très excité car il jouit au bout d’à peine une minute. Il se retire, je suis un peu déçu, je regarde autour de moi. Un des noirs comprend mon désarroi et vient vers moi. –Tu permets. –Bien sûr. Il me prend par les hanche et m’attire à lui brusquement. Son gland se fraye un passage et s’enfonce d’un seul coup au plus profond qu’il peut. Il me défonce avec de grands coups de rein. Je sens bien sa bite, beaucoup plus volumineuse que la précédente, à l’intérieur de mon cul, son gland frotte contre la paroi. Il s’en donne à cœur joie. J’entends Annie jouir, suivi quelques secondes plus tard par sa sœur. Le copain prend toujours des photos. Le noir continu son ouvrage, au bout de ...