Corinne au culot (et déculottée)
Datte: 29/07/2021,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
... ôta à son tour ses vêtements et vint s'allonger aux côtés de Corinne pour une masturbation réciproque. "Elle est trempée, elle m'a bien eu" constata-t-il, mais sans déplaisir. L'idée de baiser la femme d'un collaborateur à quelques mètres de celui-ci l'excitait au plus haut point. Lorsqu'il vint la lécher entre les cuisses, Corinne se découvrit sur le miroir du plafond en proie au plaisir ineffable du cunnilingus. Sa langue était habile et elle se laissa aller à gémir de plaisir. Son mari s'était effacé de son esprit. Seul comptait désormais d'être bien baisée par ce type élégant et racé. Lorsqu'il vint se positionner au-dessus d'elle pour la pénétrer enfin, elle l'accueillit avec reconnaissance et lui talonna les reins de ses pieds impérieux. Elle ne quitta pas des yeux, sur le miroir du haut, les fesses de son amant dont la chair tremblait à chaque coup de boutoir, vision qui décuplait le plaisir de la bite en elle. Elle lui signifia verbalement sa satisfaction et l'encouragea à persévérer par quelques mots simples mais expressifs qu'il reçut cinq sur cinq. Il comprit rapidement qu'il était tombé sur une femme vraie, expérimentée, vicelarde, ardente, affamée de sexe, sans tabous et il comptait bien en profiter pour peu qu'il parvînt à retenir son sperme, ce qui n'était pas gagné. Corinne sentit qu'il devenait de plus en plus pointu et qu'il était temps de réagir si elle voulait faire durer l'accouplement. Elle le fit s'allonger et s'empala sur lui, les fesses vers son ...
... visage. Elle savait d'expérience que cette position permettait à l'homme de durer davantage en raison d'un frottement moindre sur sa verge, tout en lui permettant de profiter de celle-ci. Le miroir lui renvoya son visage concentré, son rictus de plaisir, son corps en mouvement et, lorsqu'elle tournait le tête sur le côté, l'attitude tout aussi concentrée de son amant qui lui pétrissait les hanches et ondulait sous elle, autant que faire se pouvait car elle s'empalait vigoureusement. Lorsqu'elle jugea que l'éjaculation n'était plus imminente, elle se releva, se mit à quatre pattes, et invita son partenaire à venir la prendre par derrière. Elle avait le nez presque sur le miroir et une petite buée, provenant de ses halètements, apparut sur la vitre. Elle aimait la levrette qui convenait parfaitement à la forme de son vagin et lui faisait sentir la bite mieux que dans toute autre position. C'est pourquoi elle s'emballa tout en observant, via le miroir, son amant de plus en plus tendu, comme s'il craignait de ne pas suivre le rythme endiablé de la belle blonde qui tournicotait des hanches tout en l'asticotant verbalement. Cette conjonction du son et de l'image (la vision de Corinne à quatre pattes, les seins ballants entre ses bras tendus et la mine rayonnante, le subjuguait) le mit une nouvelle fois au supplice. Bon dieu quelle baiseuse, se dit-il, elle est vraiment faite pour la bite. Effectivement, Corinne prenait son pied, sans retenue et sans honte malgré la proximité de son ...