Business à Barcelone - 5 / 7 - Histoires de Sexe

Business à Barcelone - 5 / 7

... Puissants, qu’elle adorait être prise ainsi… Exactement comme elle aimait. Le bruit des claques résonnait en elle provoquant des milliers d’étoiles dans son cerveau, dans ses yeux. Elle se dandinait, offrant ses petites fesses aux mains aux gros doigts dans un concert de petits cris langoureux. Isabelle pencha sa tête en arrière, accentuant sa cambrure, pour offrir sa crinière à son Amant. François s’en empara, tirant les cheveux à lui tout en la fessant… et en la défonçant. Isabelle, aux anges, était exactement là où elle voulait être… Compte tenu de la puissance des allées et venues, elle s’accrochait comme elle pouvait. Ses genoux décollaient du lit, sans qu’elle ne puisse y faire grande chose. Elle était une poupée de chiffon ballottée sous ses coups de reins et ravagée par cette vague de plaisir qui l’inondait et à laquelle elle ne pouvait résister. Elle haletait et glapissait de plaisir, visiblement comblée par son Homme. Me voilà cheveux tirés, démontée et fessée, que pourrais-je demander de mieux ? À chaque fois que la queue tapait en butée elle se tordait pour se laisser prendre encore plus profond. François avait rarement vu une fille collaborer autant et prendre un plaisir non dissimulé à cette possession bestiale, rapide et sauvage. Cela le conforta dans le bien-fondé de son comportement égoïste et se concentrant sur son propre plaisir, il fit étalage de sa force sans ménagement. Cette si belle queue qui lui défonçait le ventre la fit grimper au septième ...

... ciel. Trois minutes ne s’étaient pas encore écoulées que François poussait déjà un long grognement guttural en déversant son sperme dans les spasmes chauds et humides de sa Maîtresse. Et oubliant cette fois-ci toute manifestation de tendresse il se retira sans un mot, d’un geste brusque. Isabelle ne perdit pas le nord et se retourna rapidement pour lécher le sexe encore tendu de son Homme et le lui rendre beau et propre, comme l’aurait fait une bonne petite soubrette. À l’absence de réaction de François, elle comprit qu’il n’avait pas l’habitude de ce type de… « prestation », et qu’elle venait à nouveau de marquer des points. Mais ne voulant pas montrer son trouble ,il fila alors à la salle de bain en laissant Isabelle seule avec ses pensées… Car dans tout ça Isabelle ne se laissait pas démonter. Du moins… pas au sens psychologique du terme ! Elle avait bien compris que François avait voulu tester ses limites, et comme ce petit jeu ne lui faisait pas peur elle avait poussé le bouchon encore plus loin. Elle était allée à bonne école, et son aventure londonienne lui avait permis non seulement d’être initiée à toutes sortes de pratiques sexuelles, mais en plus d’y prendre énormément de plaisir. Elle ne risquait donc pas de finir en femme-objet frigide et aigrie qui s’offre à son époux pour le retenir, en désespoir de cause. Oh non, ce rôle ne serait pas pour elle. Elle serait l’Épouse et la Maîtresse, la Princesse et la Courtisane, mais toujours radieuse, jouisseuse, rayonnante, ...