Business à Barcelone - 5 / 7
Datte: 30/07/2021,
Catégories:
fh,
ff,
fbi,
hplusag,
extracon,
Collègues / Travail
hotel,
voyage,
amour,
cérébral,
vidéox,
Oral
pénétratio,
portrait,
... réticences de la jeune femme. Il aurait pu passer outre et la culbuter sans autre forme de procès. Mais ce n’était pas son mode opératoire, non… François n’avait pas besoin de forcer à la main à qui que ce soit pour obtenir ce qu’il voulait. Il maintint son emprise, mais resta immobile, en attente. Pendant ce temps le désir et la raison bataillaient dans la tête d’Isabelle, qui sentait qu’elle perdait prise, peu à peu. La contraception n’était pas un souci non, c’était tout le reste. Mais… n’était-ce donc pas son futur mari qu’elle avait face à elle ? Et elle devrait le traiter comme un vulgaire plan cul d’un soir ? Si elle était si sûre d’elle, si elle faisait réellement confiance à son instinct, elle ne devait pas hésiter une seconde de plus. Isabelle s’accrocha alors fermement aux épaules de François, enroula ses cuisses autour de son corps, souleva son bassin et, le regardant droit dans les yeux, se laissa retomber d’un mouvement lent, mais déterminé, s’empalant jusqu’à la garde. L’Amant comprit qu’une barrière venait de tomber dans la tête de sa Maîtresse et qu’elle s’abandonnait ainsi corps et âme. Maintenant elle était à lui. Tout entière. Sans condition… Il en fut tout flatté dans son ego de mâle et son érection s’en trouva renforcée. Et ce fut elle qui entama un déhanchement, d’abord lent puis de plus en plus rapide, dans un silence uniquement troublé par les soupirs de plus en plus langoureux des deux amants. François savourait avec le même plaisir que la veille ...
... l’étroitesse du petit sexe d’Isabelle. Passés les premiers instants de passivité, il avait repris l’initiative, et agrippant les fesses de sa Maîtresse il la soulevait puis la laissait retomber, alternativement, en cadence, tandis que ses coups de reins accentuaient la profondeur de sa pénétration. Isabelle était aux anges, éperdue de plaisir, se sentant encore plus remplie que la veille. Il la prenait avec force, comme une poupée. Son corps frémissait, son ventre la brûlait, la consumait. Il tenta quelques coups aux fesses, découvrant avec satisfaction que c’était une chose qu’elle adorait au possible, alors il poursuivit sur cette voie. Elle n’en pouvait plus. Lorsqu’elle jouit enfin, tremblant de tout son corps, François continua à la pénétrer, la besogner, la démonter, empêchant son orgasme de s’interrompre. Ce n’est que lorsqu’il se lâcha enfin en elle qu’il s’immobilisa enfin, planté au fond du ventre d’Isabelle, tandis que sa semence onctueuse et fertile se répandait dans la matrice de la jeune femme. Elle ne réalisa pas pleinement comment François la ramena sur le lit. Elle sut juste qu’elle s’assoupit à nouveau et à son réveil un sentiment de plénitude l’habitait. Son Amant allongé à ses côtés la regardait, mi-amusé, mi-intrigué. — Alors ? Heureuse ? demanda-t-il, en accentuant bien le côté cliché de sa question. Isabelle se contenta d’un sourire. — Pour le préservatif… commença-t-il à s’excuser. Mais pour clore tout débat elle lui fit simplement signe de se taire, ...