Le chapeau de ma mère (2)
Datte: 30/07/2021,
Catégories:
Inceste / Tabou
... sous-vêtement. Le résultat fut immédiat, je bandais comme jamais. Le contact de ce tissu soyeux sur ma peau fut une révélation. Je me débattis ensuite pour enfiler le soutien-gorge. Pour éviter toute mauvaise surprise, même si ma mère n’entrait jamais dans ma chambre sans frapper, j’enfilai par-dessus mon peignoir. Je lançai une rapide recherche sur mon ordinateur. J’étais sidéré par le nombre incalculable de photos en résultant. Si certains travestis tenaient plus du déguisement de carnaval, l’image si féminine renvoyée par nombre d’autres les distinguaient difficilement d’une femme cisgenre. J’affinai ma recherche et les bras m’en tombèrent en voyant tout ce qu’il y avait à lire sur le sujet. Ma mère appela : le repas était prêt. J’hésitai un instant mais décidait de garder les sous vêtements de ma mère. J’enfilai un jean, un tee-shirt et par-dessus un sweat-shirt ample car j’avais l’impression que le soutien gorge serait visible comme un nez au milieu de la figure. J’étais excité comme une puce et n’arrivais pas à débander. Restait à espérer que cela ne serait pas observable. Pendant tout le repas, j’avais la tête ailleurs. Ça, ma mère le remarqua, mais elle n’insista pas, mettant cette absence sur le compte de mes lectures ou de mes cours. Si elle avait su ! J’étais dans tous mes états. Ma verge cherchait désespérément la sortie mais je ne devais surtout pas montrer ma gêne. ─ Mon chéri, tu es sûr que ça va ? Je te trouve bien perturbé ce soir, tu ne dis rien. ─ Un petit ...
... coup de fatigue, je pense ; rien de plus. Je vais te donner un coup de main pour débarrasser puis j’irai me coucher. Ça ira mieux demain… ─ Laisse tomber, file te coucher tout de suite : il n’y a pas grand-chose à faire, je me débrouillerai très bien toute seule. Après lui avoir souhaité une bonne nuit, je filai à la salle de bains. Après avoir brossé mes dents, je fouillai une dernière fois dans la machine à laver et trouvai de quoi agrémenter mon sommeil : une robe de nuit, de la même matière que les dessous que je portais. Rien qu’à l’idée de ce contact entre ma peau et ce tissu pendant des heures entières, j’en avais la chair de poule. Il ne me restait plus qu’à retourner discrètement dans ma chambre. La longue nuisette soyeuse glissa sur ma peau et je crus défaillir tant cela m’emplissait de bonheur. J’avais hâte de me mettre au lit et dormir dans cette tenue mais il était encore tôt. Je m’installai devant l’ordinateur et continuai mes recherches. Cette fois, la tentation de consulter des photos fut la plus forte. Je survolai des pages et des pages de galeries. Je n’en revenais pas qu’il y en ait autant. Mon attention fut particulièrement attirée par une brésilienne nommée Natasha Dumont. Elle avait de longs cheveux d’un noir brillant. Dans la première série de photo que je vis, elle campait une indienne, légèrement vêtue, et posait sur le bord d’une rivière en pleine forêt amazonienne. Ce fut comme un coup de foudre. Elle était tout simplement belle, resplendissante. Je ...