1. SAP&cie 01


    Datte: 30/07/2021, Catégories: Partouze / Groupe

    ... de laisser les personnes l'admirer et ainsi de lui permettre de commencer son intervention dans une ambiance chaleureuse et certainement pas froide, ne voulant pour rien au monde revivre la froidure comme chez M.Schmidt. Elle portait aussi des petits gilets à fermeture éclaire qu'elle ouvrait plus ou moins et sous lesquels elle ne portait qu'un soutien-gorge et parfois rien. Elle acceptait même les mains baladeuses des papis les plus culottés, sur son jeans slim, sur son mini-short, son legging moulant. Elle avait même laissé une fois la main d'un papi pervers se glisser directement sous sa jupe légère pendant qu'elle cuisinait. Mais elle n'avait pas été jusqu'à offrir le contact de son intimité avec l'intimité d'un homme. Elle ne voyait qu'un ou deux moments où elle aurait pu donner plus de sa personne. Elle ne savait pas vraiment si elle s'en voulait de ne pas l'avoir fait ou si c'était trop tôt à ce moment. Car elle s'était déjà surpassée. Comment aurait-elle pu aller plus loin sans en payer le prix? Un prix irrémédiable, sa virginité! Par exemple, chez Justin Pirlaut, chez qui elle s'était donnée à fond. Oh Oui, elle avait donné de sa personne. Justin Pirlaut, chez qui le sous-directeur Kahlouf l'avait envoyée pour son deuxième jour. Il l'avait briefée et expliquée rapidement quel était son lourd handicap, sa "malédiction" comme Justin le disait, avec son mauvais caractère. C'était un genre de M.Schmidt de 34 ans en encore moins ouvert et complètement taciturne, normal ...
    ... puisqu'il souffre d'un handicap encore plus lourd, en déduisit Lucie. Et dans sa logique, elle devait l'aider encore plus. Jena était déjà allée chez lui, elle le détestait, le disait calculateur, vicieux, misogyne, pervers avec une main baladeuse, un étalon avec une bitte de cheval.Un branleur en fauteuil incapable de se branler correctement!Jena ne mâchait pas ses mots, jamais. C'était d'ailleurs une des choses qu'on pouvait lui reprocher. Et qui allait lui être reprochée très vite. Lucie était donc allée chez lui le lendemain matin de sa révélation sous la douche et devant LE MIROIR, pour effectuer le réveil, le lever, la douche, l'habillage, l'installation au fauteuil électrique, le petit déj. C'est chez lui qu'elle offrit sa première exhibition volontaire, qu'elle accepta ses premiers pelotages qui avaient ouvert la porte à son acceptation systématique à d'autres comportements inadaptés.Oui je me souviens bien!Elle était, ce matin là, bien décidée à faire taire cette Lucie coincée et faire naître, dans les faits, Lucie l'auxiliaire d'élite, généreuse, dévouée corps et âme que LE MIROIR lui avait montrée. Et cela avait commencé par sa tenue vestimentaire qu'elle avait osée choisir. Une tenue qui était composée du même débardeur ultra serré de la veille qui pour rappel mettait son ventre lisse et plat en valeur et moulait sa belle poitrine, mais aujourd'hui, elle portait avec ce haut une petite jupe patineuse légère bleu ciel qu'elle portait taille basse, qui s'arrêtait ...
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