La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°912)
Datte: 30/07/2021,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... être la plus belle possible par une coiffure et maquillage parfaitement pratiqué sur mon visage… Quand je fus amenée en cuisine, les esclaves et soumises MDE en sortaient, chargés de plateaux pour l’apéritif. Je fus conduite à Marie la sévère cuisinière. - Écoute-moi bien la chienne ! Je n’ai jamais mis en doute les Exigences de Monsieur le Marquis, mais pour ce soir, j’en ai quand même un petit. Ce soir, tu vas servir, seule, le dîner. Notre bien aimé Châtelain a une vingtaine d’Invités triés sur le volet, des Dominas et Dominants de renoms. Tu ne dis rien qui ne soit indispensable, quoi qu’il se passe, tu dois continuer au mieux ton service, tu apportes les plats et sers chaque convive, tu sers à boire. Il t’est interdit, jusqu’à nouvel ordre, de parler, crier, geindre, ou jouir, même si on te pelote, doigte ou baise. C’est une vraie épreuve qui t’attend, tu es prévenue ! Je ne pense pas qu’il soit utile de te rappeler que tu n’as pas intérêt à décevoir le Maître de ces lieux. Maintenant, redresse-toi. J’obéis, et Marie me passa de lourdes menottes de fer aux poignets et aux chevilles. Une chaine reliait mon collier, mes deux poignets et mes chevilles ensemble. Et Une chaîne plus petite reliait les deux chevilles entre elles, rendant mes déplacements difficiles, et certainement un peu ridicule à regarder. J’étais anxieuse. J’allais devoir servir seule, et cela m’inquiétait fortement. Je ne pourrais pas jeter un œil à un frère ou une sœur de soumission, si jamais j’avais un ...
... doute sur ce que je faisais. Il allait falloir une forte concentration pour ne pas m’embrouiller. - Maintenant, va annoncer que le repas est prêt, et n’oublie pas les consignes ! Ah, une dernière chose, sauf si on t’exige une autre position, tu restes debout, pour faire le service à table, c’est tout de même plus facile pour ne pas casser la luxueuse vaisselle ! Je pénétrais alors dans la grande salle à manger. La première personne que je vis fut le Maître de dos, et mon cœur s’accéléra. Je me raclais la gorge, Il se retourna me fixant de Ses yeux bleus perçants, et j’annonçais que le repas était prêt à être servi. Sans un mot ou un geste pour moi, Il se tourna vers ses Invités et les invita à prendre place autour de la table avec une prestance, un charisme d’une grande classe. Tandis que tous s’installaient, j’ouvrais une porte dérobée qui donnait sur l’office où se trouvaient des chariots couverts des plats du diner. Des soumis se chargeaient de remplir les dernières assiettes encore vides que j’allais servir aux Invités. L’entrée était un tour de force de Marie, car elle finissait de les préparer avant que je ne puisse les servir. C’était un velouté d’asperges avec une mousse au Reblochon, qu’elle mixait au dernier moment, décoré de baies roses. Je pense pouvoir affirmer que Marie aurait pu être un grand chef étoilé dans un grand restaurant tellement elle excellait aux manettes de ses fourneaux. Je commençais donc en prenant deux bols et en allant aussi vite que possible ...