1. Soirée estivale 2 : Jenga en folie


    Datte: 30/07/2021, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... entre deux ahanements - Tiens, suce plutôt ma grosse bite salope, clamais-je, tel un roi antique à son esclave. Moi qui ne suis jamais vulgaire, cette fille avait eu le don de me faire sortir de mes gonds. Le pire est qu’elle répondait du tac au tac, de la manière la plus salope qui soit. Du coup, j’abondais en son sens : - Bah alors il est où ton mec ? Il n’aurait pas été capable de s’occuper de toi comme on le fait maintenant hein ? Continuais-je en enfonçant mon sexe au plus profond de sa gorge. - Mmmmh Hummpfff Glglglg, grogne-t-elle, étouffée par ma bite. - Pardon ? Qu’est-ce-que tu dis salope ? - C’est bon … j’adore… Je suis votre petite chienne, t’avais raison tout à l’heure… Et Marie de ponctuer cette phrase en prenant mon vit à pleine main pour se taper la langue, sortie hors de sa bouche gourmande, telle une affamée de bite. On était vraiment tombé sur une dingo. Génial. Marie continuait de me sucer comme elle pouvait, allongée sur le dos, se faisant doigter allégrement par Antoine, assis à sa droite, et moi, assis au dessus de sa tête à sa gauche. Mes pensées reprirent le dessus dans ma tête : « Ah c’est génial, elle est vraiment complètement folle celle-là. Ouais c’est vrai, mais Julie suçait mieux quand même. On sent un peu les dents là. T’as raison c’est vrai, attends on va lui dire, à tous les coups elle va nous répondre un truc marrant. » Pourquoi je pensais à Julie à ce moment là moi ? Avec mon pénis dans la bouche d’une autre fille, qui se faisait doigter ...
    ... par mon meilleur pote en même temps, pendant que le mec de cette fille était peut-être en train de penser tendrement à elle dans son lit ? Faut croire que ça ne me dérangeait pas plus que ça à ce moment là et que intérieurement j’avais déjà décidé d’arrêter cette relation. Ces réflexions ne m’ont pas empêché de protester à Marie : - Putain je sens quand même vachement tes dents, t’es pas hyper douée pour sucer ! - Tu vas voir si je ne suis pas douée pour sucer, rétorqua-t-elle en sortant mon sexe de sa petite bouche, faisant un bruit de ventouse que les voisins ont dû entendre à 10 km à la ronde. Ce faisant, elle se dégagea de sa position allongée pour se positionner à 4 pattes, tête vers moi, pour reprendre ma bite en bouche, en s’appuyant de ses deux mains sur mes abdos et mes cuisses. Elle en profita pour gober mon sexe sans les mains, avec sa langue en guise de tête chercheuse, tandis que mon missile trouvait rapidement son chemin. Ah, c’était mieux. Elle avait beaucoup plus d’amplitude pour bien lécher ma hampe de long en large, la prenant parfois d’une main pour mieux la contrôler, et la lécher de haut en bas, en instant sur le méat et en me regardant droit dans les yeux, de défi : « Alors ? Elle ne sait pas bien sucer la petite chienne ? » s’amusa-t-elle à répliquer. Là j’avoue je n’ai rien répondu, elle m’avait cloué le bec. Soudain, Marie fut prise d’un soubresaut qui lui fit prendre ma bite pratiquement en entier dans sa gorge, avec un bruit de gargarisme digne d’une ...
«12...5678»