La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°811)
Datte: 30/07/2021,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... yeux avec un bandeau qu’Il sortit de Sa poche : - Et maintenant, débrouille toi pour retrouver le centre de ton salon, tient-toi debout, jambes écartées, mains derrière la nuque et va très doucement pour ne pas te blesser à un éventuel obstacle. Je vais chercher, dans la voiture, un accessoire que tu n’as pas. Quoiqu’il arrive, je ne veux pas te voir bouger une fois que tu estimes être au centre de cette pièce, ni entendre le moindre son ! Et tandis qu’Il quittait la pièce, je me replaçais à quatre pattes et, à tâtons, regagnais le salon où, touchant la table basse, je reconnus le centre de la pièce, et je me mis alors dans la position exigée debout, jambes écartées, mains derrière la nuque. J’entendais dehors le bruit d’une portière de voiture qui s’ouvrait et se refermait, puis la porte de l’entrée. Je savais que le Maître, revenu, était proche de moi, mais Il restait immobile et silencieux, laissant monter la tension en moi. Puis le claquement d’un fouet se présenta près de mon oreille. Je compris ce qui m’attendait. - Les seuls sons que je veux entendre, ce sont le décompte des coups que tu recevras, et tu devras me remercier à chaque fois en disant « Merci Maître Vénéré ! » d’une voix claire et audible. Je ne te dirais pas combien de coups tomberont ! J’appréhendais beaucoup le premier coup, ne pas savoir où il va tomber, ni quand, ni avec quelle force. Et je devais me concentrer pour être sûre de ne pas crier, de ne pas gémir, mais réussir à compter et à Le remercier ...
... d’une voix aussi claire que possible. Le premier coup tomba, assez fort sur la fesse gauche, puis le second, un peu moins fort sur la fesse droite et à chaque fois, malgré la douleur, j’exprimais comme exigé, mes remerciement à être corrigée. Je ne sais pas ce qui se produisit en moi dans mon cerveau mais force était de constater que mon bas-ventre s’humidifiait d’une façon fulgurante à chaque coup reçu. En effet, cela m’excitait fortement, la douleur se mélangeait au plaisir excitant et cela incroyablement intensément... Plus il frappait, plus je le remerciais et plus j’étais excitée. Les coups se succédèrent donc, jamais de la même force, jamais au même endroit, dans une logique totalement maitrisée par le Maître, qui savait doser parfaitement chaque impact, sur ma peau, des lanières du fouet. Logique qui m’échappait et m’empêchait de prévoir le prochain coup. La tension devenait douloureuse dans mes bras, mon corps se mettait à trembler, ma voix était tendue. Le Maître semblait ne jamais vouloir s’arrêter. Les coups étaient assez espacés pour me laisser le temps de reprendre mon souffle et de le remercier entre chacun d’eux jusqu’au cinquantième. Et là j’avais à peine fini de Le remercier, que Monsieur le Marquis enchainait sur le suivant. Les larmes coulaient sans discontinuer, j’avais peine à continuer de compter, dans ma voix s’entendaient les sanglots que je retenais, jusqu’à arriver au soixantième et dernier coup de fouet. Ma cyprine coulait sur mes cuisses, rarement je ...