Le parking
Datte: 13/11/2017,
Catégories:
fh,
couple,
inconnu,
parking,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
69,
préservati,
pénétratio,
fsodo,
jouet,
confession,
... D’undominant, je m’attendais à une succession d’ordres, de demandes, de caresses me transformant en courtisane ou en pute afin de satisfaire les désirs de monMaître. Mais si, êtresoumise, c’est se laisser guider ainsi, s’allonger, être disponible, oh combien disponible et réceptive à ce genre de caresses, alorsVive la Soumission ! Tout naturellement, mes cuisses trouvent un appui sur ses épaules alors qu’il me lutine. Mon ventre va au-devant des caresses. Ses lèvres aspirent… Sa langue pénètre et enveloppe… De mon petit trou à mon petit bouton, il me lèche. Ses va-et-vient sont des délices. Même son nez joue au curieux dans ma fente. C’est bon ! Il y a bien longtemps qu’un homme n’a découvert mon intimité. Le dernier date de… de… oh, cela fait si longtemps… Des années… Un amant de quelques mois… Stagiaire de passage dans mon service qui me lutinait sous mon bureau, renversant la tradition qui veut que ce soit la femme, ainsi cachée, qui pompe la queue de l’homme. Depuis, il y a eu mon mari, bien entendu. Mais lui sait tout de moi. Marc c’est autre chose, il me découvre. Mais il sait ce qu’il faut trouver chez une femme. Ma première jouissance est une surprise. Elle vient si vite alors qu’il a trouvé combien j’aime qu’on me torde les tétons. Il se redresse. Son sourire est d’un conquérant ! Tout en me fixant, il se déshabille. Son torse est tout de duvet, une sorte de chemin sombre part de sa poitrine au pubis où il se brise sur une nudité totale avec un sexe en érection, ...
... si tendu qu’il semble tiré vers le haut par les cordes invisibles de l’envie. Marc apprécie mon regard. Voit-il dans mes yeux l’envie de caresser cette belle bite déjà vue, entrevue à la lumière d’une lune indiscrète, disparaissant dans la gorge et la fente d’une femme. Il s’allonge à côté de moi. Je n’ai pas besoin d’un ordre quelconque pour venir m’emparer du mandrin, mais Marc veut que je m’installe sur lui. Soixante-neuf écrit en toutes lettres n’est pas très parlant, si ce n’est pour les initiés. Mais 69 en chiffres, parlent mieux et si on l’imagine faisant un quart de tour, alors tout est dit ! Le miroir en est le témoin. Ce miroir, que Louis a fait installer, sous prétexted’agrandir notre chambre, mais qui se révèle en réalité, le voyeur de nos ébats. Un voyeur complice que mon mari sait utiliser pour mieux nous exciter. Exciter comme par exemple, lorsqu’il me met face à lui, en appui sur les mains alors que sa queue me prend. Celle que je vois alors dans la glace, c’est moi… et ce n’est pas moi. Ce visage dont certaines expressions sontbestiales et qui me transforment en femelle guidée par sa chatte et des envies inavouables n’est plus le mien. La bouche qui prononce des mots si crus qu’en temps normal je rougirais de les prononcer, ce n’est pas la mienne. Et pourtant ! Je crois que nous avons tout fait, tout imaginé devant lui. Y compris… Plus récemment… Un inversement des rôles… Louis en appui ou mieux, de profil, à quatre pattes alors que le gode que je dirige lui ...