Le parking
Datte: 13/11/2017,
Catégories:
fh,
couple,
inconnu,
parking,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
69,
préservati,
pénétratio,
fsodo,
jouet,
confession,
... ne me reconnais plus dans le miroir. Oui, le miroir que je ne peux m’empêcher de regarder, voyeuse de ma propre dépravation. J’ai du mal à me reconnaître. Luisante de sueur, les yeux pleurant, des traînées de salive qui suintent de mes lèvres et tirent des films infâmes entre la bite et moi lorsqu’il me laisse reprendre ma respiration. Mais pourquoi je ne proteste pas ? Pourquoi je me laisse manipuler ainsi, laissant cet homme utiliser ma gorge comme un orifice où il se branle ? Oui pourquoi ? Par ce que d’une certaine façon je veux faire honneur à mon mari ? Ou bien pour me venger de m’avoir « offerte » sans même m’en parler. Oh oui, mon mari, que vas-tu dire lorsque Marc te dira que ta femme est une fieffée salope qui sait faire des pipes profondes ? Ou encore, par fierté et montrer à cet homme, qui manifestement a eu beaucoup de femmes, que je peux moi aussi trôner dans son panthéon du sexe ? — Tiens, mets la capote. La pression sur ma tête se relâche. Une capote apparaît comme par miracle. Un homme comme lui doit toujours avoir ce genre de choses sur lui. C’est comme le vélo, cela ne s’oublie pas. Il y a une éternité que je n’ai pas recouvert une bite avec une enveloppe, mais la dérouler est un avant-goût de ce qu’elle implique. — Viens sur moi. Oh, mais avec plaisir, pensé-je en me redressant pour venir l’enjamber. Je dois avoir une tête affreuse. Mon Dieu ! C’est moi dans la glace ? Eh oui, c’est bien moi. Moi qui maintiens la bite bien droite et me place à la ...
... verticale. Moi qui fléchis les genoux. Moi qui sens que le gland trouve ma fente. Moi qui relâche la queue, maintenant prisonnière. Moi qui ferme les yeux comme toujours dans ces moments où je fais durer le plaisir, ne me possédant que lentement, lentement pour bien sentir le membre me dilater. Et il me dilate, ce beau bâton. Le plug ne fait pas de concession. Marc doit le sentir qui se frotte à sa queue. Mais je suis grasse de sa salive et de me jouissance et le mandrin me remplit délicieusement. Je suis assise, et j’ondule autour de ce pieu de chair pour encore mieux le sentir. C’est bon. Divin. J’ouvre les yeux et découvre mon amant qui regarde un large sourire aux lèvres. — C’est bon, hein !— Oui ! Oui !— Attends ! Il se lève, me soulevant comme une plume. En quelques secondes, je me retrouve allongée, les jambes levées, ouverte dans un V que des mains puissantes m’imposent et une bite qui me remplit à nouveau. Il me possède. Le verbe n’est pas banal. Dans son cas, il est approprié. Je suis sa chose. Petite chose toute à sa main, toute à son plaisir, s’ouvrant le plus possible, se cambrant le plus possible, se caressant les seins dans une impudeur totale, grimaçant sous ses avancées, gémissant sous le plaisir, osant des « Oui. Oui… » de femelle en rut. Femelle qu’il déplace, qu’il guide pour la mettre à quatre pattes et la reprendre. Pas pour longtemps, car je sens qu’il enlève le plug. Quelques secondes où rien ne se passe. Mais c’est un esthète, il sait regarder, apprécier. Je ...