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Businesswoman ou prostituee
Datte: 30/07/2021, Catégories: Anal BDSM / Fétichisme Voyeur / Exhib / Nudisme
... femme et enfants.Il se crut autoriser à m'infliger les photos de ses gosses. Maintes fois les clients par trop familiers ont sacrifié à ce genre d'exercice avec moi ce que j'estime très saugrenu. Quelle inspiration perverse les oblige à mêler le plus cher de leurs affectations familiales avec une marchande du cul ? Il faut croire que cela exacerbe leur libido et améliore leur érection. Il est vrai que le cochon peu à peu commença à me caresser et à me lécher le nichon que j’avais à la fois beau et rebondi. Un léger hâle ajoutait à la séduction de ma peau. Je me savais en mes quarante ans encore assez irrésistible.Sous son petit ventre bientôt je vins à quérir sa petite bite pour la faire enfler dedans ma bouche. Je savais y faire. Depuis le collège j'avais cette réputation énorme de pipeuse. Peu d'hommes ont su y résister. Celui-ci ne dérogea pas à la règle. Je pris mon temps lui épargnant cependant de se répandre prématurément. Il était à point à présent. Je me cambrais écartant les fesses afin qu'il me bourrât la chatte en levrette. Il était aux anges, au septième ciel. Ses jurons en Arabe en témoignaient. Je faisais la pute pour mon patron. Ils m'en seraient redevable. O quelle abnégation.Il était fou ivre de mon corps. Je m’abandonnais à sa bouche et à sa langue gloutonne et à ses mille caresses. Je n'étais pas peu fière de susciter un tel enthousiasme. Assurément je ferais ce que je voudrais du bonhomme. Je dus lui suggérer cependant de disposer entièrement de ...
... moi et notamment de m'enculer ce que je goûtais. Sa petite queue était active furieusement tonique. Ce cochon me suscitât un orgasme. Belle et divine surprise. Je lui en su gré en lui rendant des baisers fougueux sur la bouche. Nous nous remîmes au champagne. Nous étions ivres et plein de rires.Il ne fut point étonné ni offusqué que je lui parlas affaires. Il avait deviné un peu de ma démarche. Il me dit que de toute façon ce business l'intéressait. Je ne l'avais que conforté en son choix. Bref il adresserait un mail pour rassurer et contenter mon patron. Je triomphais. Il put à nouveau me foutre une heure durant et notamment s'enfoncer autant qu'il put dans mon anus. Nous échangeâmes nos numéros. Il voulait me revoir. Il passait quelque fois en France. Cette partie de sexe m'avait revigoré. Je pris la douche avec le sentiment d'un devoir bien accompli. Mon séjour était été réussi.Notre amie secrétaire obtint une promotion à titre de récompense. Moi de même car le patron dut convenir que j'avais eu raison depuis le début. Il m’assurât que désormais il s'attacherait davantage à mes conseils et mes intuitions. Je jubilais. Mon amant arabe ne manquait jamais en passant sur Paris de m'honorer. Il m'avouât ce dont je ne pus m'offusquer qu'il trouvait les call-girl ici sans saveur et qu'il me préférait. Je goûtais de bon cœur son compliment. Certains clients me l'avaient de même prodigué après que je me fus prostituée à eux. N'étais-je pas finalement une putain avisée ?