1. Acte 3


    Datte: 30/07/2021, Catégories: fhhh, soubrette, massage, théatre,

    ... couler sur mes doigts. Madame votre sœur n’a pas non plus oublié les quelques nuits que j’ai passées entre ses draps : elle a un corps admirable. MARQUIS DE SAINT-AUBIN – Quoi ! Marie ? SUZON – Non, Françoise. Pour ma maîtresse c’est encore un peu trop tôt. Je ne dis pas que dans quelques mois elle m’accueillera avec plaisir dans son lit, mais pour l’instant elle est encore trop dans les pudibonderies de son couvent. Tenez, ce matin, après votre départ, elle ne voulait pas même se mettre nue devant George pour prendre son bain. Il y avait aussi votre pauvre mère. Je n’ai jamais fait véritablement l’amour avec elle, mais m’occupant d’elle, j’avais tout loisir de la contempler nue au lever et au coucher. Pour l’habiller ou la dérober, mes mains pouvaient en toute innocence flatter les courbes de son corps, mais rien de plus, malheureusement, car Madame était fort belle. MARQUIS DE SAINT-AUBIN – Merci pour cet instant Suzon. Tu quittes cette maison et ton commerce me manquera. Tu étais si complaisante. Je suis certain que, pour ta part, dans la maison du mari de ma sœur, tu trouveras des queues qui s’offriront à ta bouche. Prends tout de même quelques précautions avec les chambrières. Si tes turpitudes venaient aux oreilles de Marie, elle serait beaucoup moins libérale que Françoise ou que moi-même. SUZON – J’y prendrai garde Monsieur. MARQUIS DE SAINT-AUBIN – Je pars quelque temps. Si on me demande, tu diras que tu ignores où je suis. SUZON – Vous allez visiter Mademoiselle de ...
    ... Jamois ? MARQUIS DE SAINT-AUBIN – Comment sais-tu cela ? SUZON – Vous venez de me parler d’elle, qu’il fallait que je garde le secret de vos billets pour elle, je ne vois pas d’autres visites qui pourrait vous éloigner de la maison. MARQUIS DE SAINT-AUBIN – Tu as raison. Mais silence donc ! SUZON – Oh ! Je sais que votre père désire s’unir à cette jeune personne. Je pense aussi qu’il serait mieux qu’elle se marie avec vous plutôt qu’avec lui. MARQUIS DE SAINT-AUBIN – Suzon, tu ferais bien de penser un peu moins et de rester coite. SUZON – Est-ce que je ne raisonne pas bien ? MARQUIS DE SAINT-AUBIN – Oh si, trop bien même. Scène 4 : Marquis de Saint-Aubin – Suzon – le Comte de Montgaudier – le Chevalier du Bois Le comte de Montgaudier frappe à la porte et entre sans attendre de réponse suivit du Chevalier du Bois. Il voit le marquis en compagnie de Suzon toujours débraillée, les seins nus. COMTE DE MONTGAUDIER – Oh, pardonnez-nous mon ami, je ne savais pas… MARQUIS DE SAINT-AUBIN – N’ayez crainte chers amis, je pelotais les beaux nichons de nourrice de cette chambrière. D’ailleurs vous, comte, sous peu vous pourrez en faire autant puisqu’elle suivra sa maîtresse, votre femme, Marie. SUZON – Monsieur le comte veut-il se faire une idée de la chose ? MARQUIS DE SAINT-AUBIN – Touchez, mon ami, touchez. Cela ne porte pas à conséquence. Ma sœur ne s’en sentira pas offusquée, puisqu’elle ne saura rien. Chevalier, vous pouvez vous aussi en profiter. Suzon est une fille généreuse, elle ...
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