Ma voisine, quelle coquine - Histoires de Sexe

Ma voisine, quelle coquine

Dans la torpeur d’une après-midi d’été, la chaleur écrasant tous les bruits quotidiens, un souffle d’air chaud ne parvenant même pas à tiédir l’atmosphère, Olivier, allongé, somnolait, calé contre un tas de planche au fond de son jardin. Loin de sa villa, à l’abri des regards, il profitait de ces moments de tranquillité pour se reposer de sa vie active. Derrière les planches, une haie de thuyas épaisse et haute délimitait la propriété voisine. Il n’était pas possible d’apercevoir quoique ce soit de cette grande demeure flanquée d’un parc ombragée, d’une piscine aux rivages carrelés. Olivier avait pourtant eu l’occasion de voir furtivement quelques détails de ce parc voisin alors qu’il cueillait des fruits debout sur une échelle. Il savait aussi la bâtisse habitée par un couple de quinquagénaire aisée et discret. Il savait aussi qu’au bout du parc, une clôture plus basse permettait d’être facilement enjambée pour accéder au domaine voisin. Mais jamais il n’avait eu l’audace de franchir le pas. Cette tentation était justement au centre de ses pensées alors qu’il paressait à l’ombre des pins. N’ayant plus perçu la présence du couple depuis quelques jours, il se dit que ceux-ci devaient être en voyage. D’ailleurs, les volets fermés de la demeure étaient bien un indice de leur absence. La proximité de ce passage facile le décida complètement. L’heure était maintenant à l’exploration. Se levant discrètement, il se rendit à la clôture qu’il franchit facilement. Il découvrit devant ...

... lui un grand parc verdoyant, ombragé et désert. Se courbant d’abord par crainte d’être vu, il déambula ensuite plus tranquillement tout en découvrant ces endroits qu’il n’avait jamais vus. Attiré par l’eau, il se rapprocha de la piscine. Il franchit le portillon d’accès et se pencha au-dessus du bassin. Mais au moment ou il tendait la main pour la tremper, une voix l’interpella doucement : « L’eau est bonne avec cette chaleur, si cela vous tente, n’hésitez pas ». Se retournant, il découvrit la dame couchée sur un matelas de plage, abritée sous un arbuste. Un grand sourire éclairait son visage, satisfaite de la surprise qu’elle avait infligée à l’intrus. Stupéfait, Olivier contemplait cette femme. Elle était presque nue et exposait son corps bronzé aux regards indiscrets du voisin. C’était une belle femme brune aux cheveux courts. L’âge n’avait pas encore eu d’effet sur elle. D’ailleurs, elle ne cachait pas ses beaux seins volumineux et fermes, dont les tétons se dressaient fièrement. Son ventre plat finissait sur un petit triangle de tissu noir qui masquait son sexe. Sa peau brune et veloutée attirait l’attention. Olivier bredouilla d’abord quelques excuses inutiles, tentant de justifier péniblement sa présence. « Cela n’a aucune importance » dit-elle. « Venez près de moi et tenez-moi compagnie, si déjà vous êtes là. Je m’ennuie toute seule ». Inconsciemment, cet indice fut capté par l’homme qui s’approcha et s’assit aux côtés de la femme. La proximité de ce corps fruité ne ...