Roméo et Juliette (d'après William S.) - Acte II
Datte: 31/07/2021,
Catégories:
Oral
traduction,
théatre,
pastiche,
délire,
humour,
théâtre,
... belle mais suçait mal… Mais où as-tu été alors ? ROMÉO. - Je vais te le dire et t’épargner de nouvelles questions. Je me suis trouvé à la même partouze que mon ennemi… LAURENCE. – Raconte-moi tout, mon petit chéri, et sans détour : y avait-il de beaux culs ? ROMÉO. - Apprends-le donc tout net, j’ai trouvé un cul sans égal, celui de la fille charmante du riche Capulet. Elle a fixé ma bite comme j’ai fixé ses seins ; elle m’a fait une pipe, mais parle déjà de mariage. Qu’est-ce que t’en penses ? LAURENCE. - Par le Grand Marabout ! Quelle salope ! Et toi aussi ! Cette Rosaline pour qui tu bandais tant, est-elle donc si vite oubliée ? Ah ! la bite des jeunes gens n’est pas vraiment dans le cœur, elle n’est que dans les yeux. Que de sperme pour Rosaline a inondé tes braies ! Le soleil n’a pas encore séché tes caleçons ! Tiens, il y a encore là, sur ta main, la trace d’une ancienne jouissance, non essuyée encore ! Si alors tu étais bien toi-même, si ces éjaculations étaient bien les tiennes, toi et tes gonades, vous étiez tout à Rosaline ; et te voilà déjà changé ! ROMÉO. - Tu m’as souvent reproché mon désir pour Rosaline. LAURENCE. - Ton désir ? Non, mon enfant, mais ton côté SM. ROMÉO. - Et tu m’as dit d’ensevelir ce désir. LAURENCE. - Je ne t’ai pas dit d’enterrer un désir pour en exhumer un autre. ROMÉO. - Je t’en prie, ne me fais pas chier : celle que je désire à présent me rendra orgasme pour orgasme ; l’autre n’agissait pas ainsi. LAURENCE. - Oh ! elle voyait bien que ...
... ta bite déclamait sa leçon… ROMÉO. - Bon, alors, dis-moi, que dois-je faire ? Faut-il vraiment que je me marie parce qu’elle m’a sucé ? D’un autre côté, c’est vrai qu’elle est bonne… LAURENCE. - Viens, petit cul, viens avec moi ; j’ai bien envie de vous marier, finalement, la Juliette et toi… une raison me décide : cette union peut, par un heureux effet, changer en pure affection la bouderie de vos familles. ROMÉO. - Aïe ! tu me fais mal ! II, 4 Une rue. Entrent Benvolio et Mercutio. MERCUTIO. - Où diable ce Roméo peut-il être ? Est-ce qu’il n’est pas rentré cette nuit ? BENVOLIO. - Non, pas chez son père ; j’ai couché avec son valet. MERCUTIO. - Ah ! cette pâle fille au cul étroit, cette Rosaline, le tourmente tant qu’à coup sûr il en deviendra fou. BENVOLIO. - Tybalt, l’amant du vieux Capulet, lui a envoyé une bite de mulet coupée en deux chez son père. MERCUTIO. – Une provocation, sur ma bite ! BENVOLIO. - Roméo répondra. MERCUTIO. - Hélas ! pauvre Roméo ! il est déjà agonisant : branlé à mort pour les gros seins d’une blondasse, frappé aux couilles par ses jambes fermées… Est-ce là un homme en état de résister à Tybalt ? BENVOLIO. - Eh ! qu’est-ce donc que ce Tybalt ? MERCUTIO. - Plutôt le prince des sodomites que des branleurs, je puis vous le dire. Oh ! il est le courageux exécuteur du point d’honneur : il encule comme vous modulez un air, observe les temps, la mesure et les règles, allonge piano, une, deux, trois, et vous touche en plein cul. C’est un pourfendeur de ...