Deux gouttes d'eau
Datte: 31/07/2021,
Catégories:
ff,
2couples,
jeunes,
freresoeur,
bain,
Voyeur / Exhib / Nudisme
intermast,
facial,
Oral
69,
pénétratio,
fsodo,
hdanus,
Partouze / Groupe
... follement être l’objet de ses fantasmes. Et je pense que le terrible orgasme que j’eus à ce moment-là, les jambes largement écartées sur la couette de mon lit, je l’ai partagé avec elle. Les vagues de plaisir qui montaient en chacune d’entre nous simultanément se sont cumulées pour nous emporter ensemble vers une jouissance indicible. À partir de ce moment, j’ai commencé malgré moi à la désirer ardemment, mais j’ignorais si la réciproque était vraie. Je le souhaitais tellement que je pensais m’en persuader, et je me sentais fautive de mal interpréter certains de ses regards s’attardant sur mon décolleté ou mes fesses. C’est elle qui fit le premier pas. C’était par une fin d’après-midi de juillet dernier, au plus fort de la canicule. Nos parents étaient partis dans la nuit pour leur destination de vacances et Arielle était partie depuis le matin au travail. Je revenais de quelques courses et j’étais en nage, ma voiture étant dépourvue de climatisation. À peine rentrée dans la maison, je me dévêtis et me rendis dans la salle de bains pour prendre une douche tiède. J’étais dans la cabine de douche depuis un bon moment, les yeux clos, quand la porte de verre s’ouvrit doucement. Ma sœur était là depuis quelques minutes. Attirée par le bruit du jet d’eau, elle était entrée dans la salle de bains sans que je ne l’entende. Elle m’observait à travers la paroi translucide, devinant à peine les courbes de mon corps, le volume de mes seins et la cambrure de mes reins. Mécaniquement ...
... elle s’était mise nue, et avait commencé à se caresser. N’y tenant plus, elle venait de me rejoindre sous la fine pluie de la douche. D’abord interloquée, je remarquai vite qu’elle n’était pas venue pour se rafraîchir en ma compagnie, sentiment confirmé par son initiative de fermer les robinets. Ses yeux étaient fiévreux, mais cela n’avait rien à voir avec la chaleur de l’atmosphère. C’est de désir qu’elle brûlait. Mes vœux les plus fous étaient exaucés. Le temps sembla se figer, et je pus détailler son corps à loisir. Ses seins étaient lourds, aussi volumineux que les miens mais plus affaissés, moins arrogants. Son sexe était aussi glabre que le mien. Ses hanches étaient légèrement plus larges que les miennes, mais ses fesses ne souffraient pas de cellulite. Elle était faite pour l’amour. Submergée par une multitude de sentiments contraires, je fus d’emblée terriblement émue, et c’est les yeux embués de larmes que je vis ses lèvres se rapprocher des miennes jusqu’à ce qu’elle y dépose un chaste baiser. L’espace d’un instant je craignis que ce contact ne rompe le charme et qu’elle ne s’enfuie. Mais au lieu de cela elle passa le revers de sa main sur la joue et me souffla : — Qu’est ce que tu es belle… Elle ne me laissa pas le temps de répondre. Ses lèvres vinrent de nouveau s’écraser sur les miennes et sa langue investit ma bouche. Notre premier baiser fut passionné, comme deux amants séparés depuis trop longtemps et qui ont besoin de se sentir le plus puissamment possible. Nos ...