Natasha & Franck (7)
Datte: 31/07/2021,
Catégories:
Transexuels
... secret. -Merci mon chéri, ça me touche énormément ce que tu me dis. Et non, tu ne me vexes pas. Je comprends que tes mots sont là pour expliquer ou décrire, pas pour juger. C’est justement pour ça que je suis heureuse d’être avec toi. En fait, quand je disais qu’ils n’assument pas, je crois que c’est ma sexualité… débordante, on va dire, qu’ils n’assument pas. Toi, tu prends tout ce qui est bon à prendre sans te prendre la tête. Depuis qu’on se connait, nous nous sommes envoyés en l’air dans des situations… dignes de films pornos et pas une seule fois, tu nous as traitées de salopes, jamais tu nous as dit qu’on était bonne… par contre tu nous l’as prouvé plusieurs fois, …..que tu nous trouvais bonnes ! Je n’ai rien contre un « petite salope » par ci, un « ma salope » par là, mais avec certains mecs, j’avais l’impression que salope leur servait de chausse pied pour nous enfiler leur saucisse ! -Bon, je crois que j’ai bien fais de venir ! -Et justement, puisque tu es là, ta petite salope adorée aimerait bien que tu lui souhaites bonne nuit à ta façon. Tu ne voudrais quand même pas me laisser dormir sans quelque chose de chaud dans le ventre ? Mmmm je vois que monsieur avais déjà dressé…..la table. » Natasha caressait mon sexe tout en m’embrassant amoureusement. Ce soir elle était ma gonzesse. Quand elle se mit en soixante-neuf, elle ne souhaitait pas que je la suce mais que je lui fasse une feuille de rose. Je m’y appliquais donc pour que son petit cul s’ouvre tout seul et ...
... finisse par réclamer le coup de grâce. Après quelques minutes, Natasha tendait les fesses à chaque coup de langue. Elle s’allongeait sur le ventre et je vins me placer derrière elle. Je frottais le gland contre son anus pour l’exciter davantage. Tant et si bien qu’elle reculait et s’empalait toute seule sur ma verge. Je commençais très lentement mes va et viens. Je voulais ressentir chaque millimètre de pénétration. La pleine lune éclairait la chambre à travers les persiennes. J’ai toujours aimé ce coté graphique de la lumière et des ombres que créaient les lamelles. J’admirais le corps de Natasha qui se détachait à contre-jour sur l’encadrement de la fenêtre. Elle s’était cambrée au maximum, épaules relevées et bras tendus, tel le sphinx. Elle offrait son cou à mes lèvres, à mes morsures. Je commençais à accélérer mes coups de buttoir. Je lui susurrais à l’oreille qu’elle était la plus belle mais que j’allais tout de même lui casser le cul. Ce à quoi elle répondit qu’il était hors de question que je ne le fasse pas. Elle gémissait. Un gémissement long et quasi continu. Elle penchait sa tête en avant, dévoilant sa nuque que je mordais. Il y avait quelque chose de félin dans cet accouplement. Je sentais venir le moment de l’éjaculation. J’avais pourtant un rythme encore assez lent. Je donnais un dernier coup de rein dont la force la surprit. Je lui envoyais de longs jets. Il me semblait que je n’avais jamais ressenti une jouissance aussi intense. D’ailleurs, je reprenais mes ...