1. autiste mais pas impuissant (1)


    Datte: 01/08/2021, Catégories: Hétéro

    UN AUTISTE QUI FERAIT ROUGIR D’ENVIE UN ACTEUR PORNO. Je m’appelle Hélène, et j’ai 36 ans. Divorcée depuis peu et sevrée de sexe mais je ne fais pas de soucis, aucun homme ne me résiste si je veux de lui. Je suis brune avec une belle poitrine et de belles fesses qui font se retourner les hommes. Cependant, il m’est arrivé une aventure peu commune avec le fils de la voisine, un autiste. Il s’appelle André et je suis une des seules personnes qu’il accepte dans son monde. Il est très gentil avec moi mais il peut devenir très violent si on le contrarie. Je viens de rentrer de faire les magasins et fait un peu de ménage. Le soir venu et ma porte close, j’ai une petite manie, j’aime être nue, je me déshabille complètement et m’étends dans mon divan pour regarder la télé. Je regarde un film peu captivant quand j’entends gratter à la porte. Je n’attends personne, zut, encore un casse-pieds. J’enfile un tee-shirt de mon ex qui me couvre même les fesses et me dirige vers la porte, je l’entre-ouvre et me penche dans l’ouverture. André se tient devant moi. Si son esprit est un peu spécial, son physique lui est commun, un jeune homme d’une vingtaine d’années mais assez costaud. — Bonsoir Dédé, euh… qu’est-ce que tu veux ? — Hélène! Grommelle-t-il. — Oui, que puis-je pour toi? Il essaie de rentrer et je remarque que son regard est braqué sur mon entre-jambes à peine dissimulé par le tissu. Il marmonne. — Hélène….. Chaude….. Envie ! Il force ma porte et entre la laissant se refermer seule ...
    ... derrière lui. Il m’entoure de ses bras posant ses mains sur mes fesses. Je crie de surprise, reculant sous sa poussée, nous nous retrouvons dans mon salon. — Dédé, arrête, mais qu’es ce qui te prends ? — Dédé aime Hélène….. veut Hélène! — Ça suffit Dédé, va-t-en ! J’essaie de me dégager, mais il est trop fort pour moi quand soudain me reviens en mémoire le bruit qui court sur lui. Plusieurs de mes voisines auraient eu à subir la fougue sexuelle d’André mais aucunes n’avaient portés plaintes. Elles auraient adoré le traitement de cet étalon soi-disant infatigable, qui semblerait être le meilleur partenaire du monde. Je me laisse donc faire voulant vivre cette expérience. Je ne suis pas une sainte loin de là et je veux juger par moi-même sur pièce. Ses mains quittent mes fesses, prennent le bas de mon tee-shirt et le font passer au dessus de ma tête. Je suis nue devant lui, il reluque mes seins, mes tétons, mon ventre mince et ma chatte entièrement rasée. — Hélène bonne! Je fais semblant de me débattre, je ne veux pas qu’il se doute que je suis consentante. Il me tripote de nouveau, je le repousse mollement en l’invectivant : — Arrête, Dédé, ce n’est pas bien ce que tu fais, sauve-toi ! Il ne réagit pas à mes paroles. Il faut dire que je ne fais rien pour lui échapper. Il me caresse les seins en s’écriant : — Hélène… Seins… Bons! — Tu en a déjà vu beaucoup Dédé? On dirait que oui! Il me tripote pendant environ une minute avant que nous nous retrouvions allongés sur le sol. André ...
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