Sex, Sun and Surf [01]
Datte: 02/08/2021,
Catégories:
Entre-nous,
Les femmes,
... Je ne sais plus si ce sont ses mains ou les miennes qui câlinent. Elle m’embrasse, je m’embrase. Ou est-ce l’inverse ? Je ne sais plus ! Ma conscience s’évanouie, ma chair brûle. Et mon sexe coule. Je quitte sa bouche à regret et descend le long de son corps. Complètement offert. Mes doigts dorlotent son ventre, ses flans, son mont de Vénus caché sous ses habits. J’enlève le jeans d’Erika et écarte ses cuisses. Je m’allonge entre elles. Je dépose des baisers humides le long de ses jambes, de plus en plus proche de son tanga clair. L’humidité de son sexe est visible sur le tissu. Les mains sagement posées sur l’intérieur de ses genoux, je ne résiste plus. J’hume sa chatte. Mon nez se perd dans ses effluves de plaisir féminines. Mon esprit s’égard. Je lèche la dentelle, sentir son goût contre ma langue m’exalte encore un peu plus. Je gémis autant qu’Erika. Je veux sa source, maintenant ! J’écarte le sous vêtement qui me gène. Je libère son sexe. Oh putain ! Je lèche, je pénètre, je m’enroule autour du clitoris gonflé. Je n’en peux plus. Ma main gauche arrache mon shorty pour que je puisse me toucher en même temps. Je suis humide, tellement humide… Je sens ma cyprine le long de mes cuisses. Et je lape le sexe de ma partenaire avec douceur et frénésie. De l’anus au clitoris. Je suce, je lèche et je mordille. Tout le désir, toute la frustration, toute l’incompréhension du début de soirée se noient dans la cyprine de mon amante. J’y mets toute ma passion. Je ne veux que son ...
... plaisir. Qu’il soit le plus majestueux possible. Déjà, Erika feule de plaisir. Elle se tend d’un seul coup. Emet grognements, mugissements et gémissements. De ses bras contractés, elle maintient ma bouche collée contre son sexe ouvert. Offert. « Me quitte pas ! » Ma langue s’attaque à sa vulve. Je la pénètre, lèche consciencieusement l’intérieur du vagin. Sans aucune retenue. Presque brutalement, mais en même temps, avec tellement d’affection. Je joue avec les petites lèvres avant de la pénétrer à nouveau. Elle se raidit de nouveau avec brutalité. Ma main quitte mon intimité pour maintenir les jambes de mon amante écartées. Un cri profond lui échappe. Je sens sa cyprine gicler contre mon visage perdu dans ses nymphes. Une douce chaleur me prend les reins. Le spectacle de sa jouissance me saisit. Je suis au bord de l’orgasme. J’enjambe le genou d’Erika. Je me frotte contre elle. Un long gémissement de volupté empli la pièce. Je comprends après coup que c’est le mien. Je me contracte si fort. Je convulse. Je n’arrive plus à respirer. Je m’effondre au côté d’Erika qui ne bouge plus non plus. Je me laisse tomber à côté de ma belle dont la respiration est encore sifflante. Je la prends dans les bras, la berce doucement, le nez contre son cou. Alors que je commence à sombrer dans le sommeil, j’entends Erika, d’une petite voix : « J’ai jamais joui aussi fort… Merci Kimmy ». Je ne réponds rien. Je souris. Définitivement, je préfère ce « Kimmy » là à celui du début de soirée ! ...