1. Initiations à tout âge


    Datte: 01/07/2017, Catégories: h, toilettes, volupté, Masturbation massage, nopéné, init,

    C’était au camp scout, j’étais un chef de 18 ans et j’organisais une activité dans les bois qui comprenait entre autres le passage sur un tronc d’arbre surplombant un petit ruisseau. Ce tronc était humide ! Aïe, arrivé au milieu, je glisse et je tombe dans le cours d’eau ! Beaucoup trop peu d’eau pour amortir le choc, je me casse le bras droit. Un responsable est obligé de me conduire à la clinique pour plâtrer. Comme il y a un déplacement de l’os, il est nécessaire de passer la nuit pour rester deux journées avec le bras coincé dans une gouttière. Le lendemain matin, à ma grande surprise, une très jeune infirmière noire vient faire ma toilette. J’étais dans l’impossibilité de me laver puisque la seule position possible était l’allongement sur le dos, je pensais simplement à un rafraîchissement de figure ! Quel plaisir néanmoins de se laisser laver particulièrement quand la personne qui le fait prend son temps et insiste en repassant de multiples fois sur le visage, les bras, les mains puis le ventre. Pas loin de quinze minutes pour me laver au-dessus du nombril ! Voici qu’elle me rhabille pour ne pas refroidir. Croyant la séance terminée, quel n’est pas mon étonnement lorsqu’elle baisse le bas de mon pyjama et ensuite mon slip. Je ne bronche pas bien que ne m’y attendant pas. C’est pas que j’étais vraiment fâché mais plutôt surpris et gêné. J’étais encore peu mature physiquement et bien qu’ayant joué au médecin dans ma petite enfance avec des copains voire plus rarement ...
    ... avec des copines, je ne savais pas trop, à l’époque, que mon sexe était censé me fournir une abondance de plaisirs. Education catholique et rigide. L’aumônier scout avait promis à mon père de me parler du coït, mais il avait failli à sa promesse. J’étais donc sous-informé, naïf, voire ridicule dans certaines conversations entre copains. Voici donc l’infirmière qui me lave le bas-ventre en tournant lentement sous le nombril et puis ensuite, elle descend vers la zigounette. Elle insiste en passant plusieurs fois en douceur, calmement, décalotte, tord le gant, reprend de l’eau chaude, recommence à frotter le haut, le bas, le gland. Je ne sais pas dire si je bandais car je n’osais pas vraiment regarder et tout se faisait en silence mais que c’était bon ! Tout à coup, elle m’écarte les cuisses, nettoie l’anus en insistant plusieurs fois. Pas question de me positionner sur le ventre puisque mon bras était immobilisé. Elle retord son gant, semble ennuyée de ne pas pouvoir frotter davantage mon fondement quelque peu serré dans cette position, elle le nettoie cependant encore quelque peu et repasse sur le périnée, les bourses, la verge. Puis redescend à nouveau entre les fesses. Elle reprend de l’eau chaude non savonneuse sur le gant, enlève le savon déposé sur mes bijoux de famille jusqu’à la dernière bulle en polissant et repolissant mes attributs plus que nécessaire. Cela m’a semblé durer une éternité avant qu’elle commence à m’essuyer. Là encore, j’en ai eu pour mon argent. Pas une ...
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