1. Mon histoire avec ma cousine Aurore (4)


    Datte: 02/08/2021, Catégories: Inceste / Tabou

    ... langoureuse monter dans mon bassin. Cette chaleur se propage dans mon sexe comme une traînée de poudre. L’envie devient trop forte ! Je dégage mon bras. Aurore se retourne en grommelant un charabia incompréhensible. Je chuchote : — Aurore ? Le silence est de marbre. -Aurore ? Je la vois remuer dans les draps. Au bout d’un moment je vois sa tête sortir. — Quoi ? — J’ai envie… Je ne sais pas comment cela est sorti, mais l’honnêteté était de mise il faut croire. Elle sort sa tête un peu plus, me regarde un instant, puis retire l’unique drap qui recouvrai son corps nu. — Viens, me répond-elle. Je ne me fais pas prier, et m’allonge sur elle. Ma bouche vient se coller sur la sienne, et mon sexe bandé sur son abdomen. Ce baiser ne se prolonge pas car je sens une pression sur mes épaules. Ses mains me poussent. Ma tête descend. Je retrouve nez à nez avec sa poitrine. Je commence à téter son mamelon, pendant que ma main palpe l’autre sein. Je tête, lèche, palpe et caresse cette poitrine qui m’est offerte. Mais la pression se fait encore ressentir sur mes épaules, et ma tête glisse le long de son abdomen. Quand la pression s’efface, je suis devant le pubis de ma ...
    ... cousine, recouvert d’un duvet de poils imprégnés d’une odeur forte. Au début amer, cette odeur se transforme, et devient moins âpre, plus salée. Je m’approche alors et embrasse. Embrasse les poils. Embrasse le haut des cuisses, et les lèvres. Je continue à embrasser toutes les zones de peau, de poils ou de chaires qui me sont accessibles. vevuuoj Je sens ses doigts passer dans mes cheveux. Ses mains me guident vers une zone bien précise. L’entrée de son vagin. Maintenant ses mains me poussent la tête, et ma bouche se retrouve plaquée contre ses chaires humides. Je sors ma langue, et lèche le sexe de ma cousine. Goulûment et avidement. Au bout d’un certain temps, que je ne saurai quantifier, Aurore me relève, saisit mon sexe, et le colle à l’entrée du sien. Et d’un coup de rein commun, j’entre en elle. Je commence des vas et viens, plus contrôlés que la veille, mais toujours aussi peu assurés. Encore une fois, je viens vite, et m’effondre sur ma cousine. Je reprends mes esprits, et je me sens faible, vite, impuissant. Aurore me prend la tête avec ses mains et m’embrasse à pleine bouche avec fougue. — Je t’aime, me dit-elle droit dans les yeux avec un regard pétillant. 
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