Le Net ce n'est pas si bien
Datte: 02/08/2021,
Catégories:
fh,
2couples,
fhhh,
hplusag,
inconnu,
fsoumise,
BDSM / Fétichisme
Oral
fgode,
préservati,
double,
fsodo,
jouet,
sm,
attache,
yeuxbandés,
init,
extraconj,
... couleurs des sentiments. Mais j’en retiens un, un seul. C’est vers moi qu’elle se tourne, c’est à moi qu’elle demande conseil, c’est dans mes bras qu’elle pleure, méditant à haute voix ce qui va se passer si des gens qui la connaissent voient ce site. Je la laisse mijoter un moment. Je sais, ce n’est pas charitable, mais son « sauvetage » est à ce prix. Et c’est alors que je lui explique le deal avec Drika. — Revoir ce salaud, jamais. Ou plutôt, si, je vais aller lui arracher les yeux, lui couper les couilles et lui faire bouffer. Ce langage ne me choque pas, il me ravit. Nous allons pouvoir avancer. Je fais tout ce que nous avons décidé avec Drika, couper tous les liens potentiels avec son mari. Lise n’est pas au courant. Je veux qu’elle croie qu’elle n’a été qu’un pion entre les mains de Christiaan. Pourtant il essaye de la joindre, mais sa femme et moi sommes des frontières infranchissables. J’ai l’idée de proposer des vacances, meilleur moyen de rompre le quotidien et tout ce qui y est maintenant rattaché. Lise accepte, presque heureuse de s’éloigner de chez nous. Pendant ces quinze jours, je me suis efforcé de me comporter en mari tendre et amoureux. Pas une seule allusion à cet épisode que je voulais effacer pour toujours de la mémoire de Lise. Après tout, j’étais responsable, ou tout au moins en grande partie. Même pendant que je lui faisais l’amour, je suis redevenu le mari d’avant, tendre et délicat. Oubliée la fellation, oubliée la sodomie, seulement du « ...
... politiquement correct ». Je ne voulais pas que ces pratiques fassent ressurgir ces moments. On verrait plus tard. Lise faisait son possible pour donner le change, mais je voyais bien qu’elle était sombre. Pendant l’amour, je sentais qu’elle se forçait et que les petits gémissements sentaient la simulation. Il fallait certainement du temps. On a repris le travail. Lise allait mieux, l’esprit occupé ailleurs. De temps en temps je surveillais son téléphone et sa messagerie. Pas de contact et c’était confirmé par Drika avec qui j’avais gardé une ligne. Son mari avait accepté, surtout lorsqu’elle lui a dit que je porterais plainte et que, s’il fallait, elle-même témoignerait. Je n’ose imaginer l’ambiance chez eux, mais c’est leur problème. Et puis une nuit où je me suis réveillé à 3 h, Lise n’était plus là. Un instant je pense qu’elle est partie et que tout est fini. Pourtant il y a de la lumière dans le salon et j’entends des voix. J’avance sans bruit et je la découvre devant l’ordinateur. Elle regarde un film, une vidéo et je reconnais sa voix. Ce n’est pas possible et pourtant c’est une des vidéos de là-bas qui défile sur l’écran. Drika m’a envoyé tous les DVD et, avant de les détruire, j’ai eu la faiblesse de les copier sur mon ordi. J’ai perdu. Autant reconnaître ma défaite. J’avance. Elle me voit. — Si tu veux reprendre contact, je ne m’y opposerai pas, dis-je, la mort dans l’âme.— Revoir ce salaud ! Jamais ! Plutôt mourir après ce qu’il m’a fait. Je m’attends à des invectives sur la ...