Deux collègues en libertinage
Datte: 02/08/2021,
Catégories:
Partouze / Groupe
Comme chaque lundi, Corinne Dutournon attendait à la gare son collègue Sébastien Legrand pour se rendre dans une succursale de leur entreprise. Chargés l'un et l'autre de la formation informatique, ils passaient trois jours par semaine en dehors de chez eux pour adapter leurs collègues à un nouveau logiciel. Cette vie itinérante les obligeait à quitter leur domicile et donc leur conjoint, liberté dont ils profitaient assez peu. Un soir de blues, après une journée éreintante, Sébastien avait tenté d'entrainer Corinne dans sa chambre pour une partie de jambes en l'air destinée à évacuer le stress, mais sa collègue l'en avait dissuadé, estimant que ce ne serait "pas une bonne idée" vu qu'ils étaient amenés à travailler toujours ensemble et que cela perturberait leur relation professionnelle. Sébastien, brun à peau mate de 43 ans, bien bâti et sportif, avait reconnu le bien fondé du raisonnement de sa collègue dont il estimait la compétence et l'esprit de collaboration, mais appréciait aussi son corps élancé aux petits seins ronds, sa lourde chevelure de fausse blonde et son visage toujours souriant. Cet épisode leur avait néanmoins permis d'aborder la question sexuelle. Sébastien s'était avoué "frustré" de ne pouvoir assouvir ses besoins hors du contexte familial, au point d'envisager un soir de contacter une call girl. Corinne l'en avait dissuadé : - Ne fais pas ça. Tu vas te faire arnaquer et tu n'auras même pas de plaisir. Tu penseras trop à ta femme. - Mais toi, tu ...
... n'as jamais de pulsions le soir dans ta chambre ? - Bien sûr que si. Mais je fais avec. Je pense à mon mari tout seul dans sa chambre. Je lui téléphone aussi. - Tu te masturbes ? Il parait que toutes les femmes se masturbent quand elles sont seules. - Ben... oui, ça m'arrive. Toi aussi, non ? - Oui mais j'ai besoin d'images et je me sers de ma tablette pour regarder des sites porno. Mais ça m'inspire de moins en moins.. - Pauvre chou ! Et l'imagination alors ? - J'en manque. Et je prends toujours des râteaux avec les réceptionnistes d'hôtel ou des collègues non mariées, comme si je leur faisais peur. - Et avec moi aussi, tu t'es pris un râteau... C'est vraiment la dèche, hein ? - Comme tu dis. Bon, maintenant, je vais me coucher. Avec moi-même. - Moi aussi. Bonne nuit. Dans sa chambre, Corinne se déshabilla, prit une douche, s'allongea nue sur le lit et se caressa les seins et la chatte, comme chaque soir. Il n'avait pas tort, Sébastien. Cette vie itinérante n'était pas très bonne pour la libido. Elle ne le lui avait pas dit mais elle aussi avait l'impression de se dessécher. A 42 ans, elle n'avait pourtant pas de temps à perdre. Son corps, encore très attrayant, méritait d'être honoré plus souvent. Son mari Christophe avait parfois des défaillances le week-end alors qu'elle était pleine d'appétit. Le sexe, elle avait toujours aimé ça. Elle avait d'ailleurs connu une aventure mémorable à Moscou au cours d'un voyage d'accompagnement de son patron durant lequel elle avait été ...