De la piscine à la terrasse
Datte: 02/08/2021,
Catégories:
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Résumé des épisodes précédents : Axel a fait la connaissance d’un sexagénaire. Séduit, il accepte de le suivre chez lui. Il découvre que cet homme possède une luxueuse propriété isolée et un chien au bien curieux comportement. --------------------------------- Face à mon protecteur, je reste un moment figé, partagé entre la répugnance que m’inspire son corps nu ventru et mon intention de satisfaire cet homme fortuné auprès duquel je pourrais mener une existence oisive. Finalement, mon côté vénal prend le dessus sur mon dégoût, et je viens me serrer contre lui en nouant mes bras autour de son cou. Je reste un moment pétrifié par mon audace, conscient de l’image déplorable qu’a notre étreinte pour quiconque nous surprendrait, lui, le vieux pédéraste, et moi, son jeune protégé. Au contact de son corps puissant et velu, je ressens immédiatement une certaine émotion. Troublé et gêné à la fois, je me blottis un peu plus contre lui, dissimulant mon visage au creux de son épaule. Il a un bref moment d’hésitation, puis vient à moi. Mieux encore, il passe ses bras autour de mon cou comme pour s’accrocher à moi, et lentement, freiné par l’eau, son corps adolescent vient se coller à moi. Je sens la douceur de sa peau, la finesse de sa silhouette presque juvénile contre moi. Je sais que j’ai gagné, qu’il est à moi, quand je sens son visage se blottir au creux de mon épaule. Mon corps lourd, marqué par les années, n’a plus la souplesse du sien. Mais je n’éprouve aucun scrupule à ...
... profiter et abuser de ce garçon à ma merci. Je ne l’ai pas forcé, après tout. Il est venu de lui-même s’enlacer et se frotter à moi. Mon sexe se déploie lentement contre son ventre. — Voilà. Comme ça, mon petit. Viens contre moi. Ici, avec moi, tu ne crains plus rien. Je suis là pour te protéger et m’occuper de toi. Je lui empoigne les fesses sous l’eau pour le plaquer un peu plus contre mon corps. — Mais dis-moi, tu ne m’as même pas dit comment tu t’appelais. Ce premier vrai contact physique et charnel avec cet homme est pour moi un délicieux réconfort. Moi qui n’ai jamais réellement reçu d’affection de ma mère – ni d’aucun adulte – je ressens une délicieuse sensation de bien-être en m’enlaçant à cet homme très doux sous ses allures un peu rudes et sévères. Je reste un moment comme cela tout contre lui, ma joue posée contre son épaule, savourant le contact de ce corps puissant dans la force de l’âge. Je relève ensuite mon minois en écartant de la main la mèche de cheveux blond platine qui barre mes grands yeux bleus pour lui répondre, presque en minaudant, et surtout très respectueux : — Je m’appelle Axel. Axel Ivanoff, Monsieur. Je décline sans aucune prudence mon identité complète. Plaqué contre le corps de ce vieux pédéraste, j’aurais du mal à faire croire à quiconque que je ne suis pas un joli petit pédé, moi aussi. Avec ma tête blonde décolorée coiffée d’une coupe asymétrique très féminine, mon corps gracile bronzé intégralement, je suis l’archétype du petit giton pour vieil ...