1. La vie intime de Madame du Tronchay (5)


    Datte: 03/08/2021, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme

    ... touche finale, placer une dernière pince sur le clitoris. Grimaçante, elle doit s’y reprendre à plusieurs fois car le plastique glisse sur sa peau intime, preuve que son labeur commence à porter ses fruits. Elle fait admirer le tout à Aimé, qui, là bas dans la Loire Atlantique, n’en perd rien. Et le fameux godemiché? me direz-vous. J’y viens. Mais tout d’abord laissons à la baronne ce qui lui appartient, à savoir cette grâce insoupçonné à onduler des fesses, relever ses cuisses, cambrer ses riens pour présenter son entrecuisse. Tout y passe. On ne voit que le visage d’Aimé à l’écran mais il est tellement aux anges qu’on présuppose une colossale érection à l’étage inférieur. sjesiioc La baronne a décidé de prendre les choses en main, en bouche plutôt, car c’est avec ardeur qu’elle absorbe le gland de plastique, prenant grand soin de l’humecter en prévision de ce qui l’attend. Au bout de quelques instants l’objet ruisselle de salive. C’est le moment voulu par sa propriétaire. Elle se redresse autant que sa main attachée le permet et place le phallus artificiel à la verticale de sa vulve. Manœuvre réussie, il ne lui reste plus qu’à s’empaler lentement sur la chose. Le gode peu à peu glisse dans son for intérieur jusqu’à ce que les fesses de la baronne Hélène du Tronchay reprennent contact avec l’assise du fauteuil. Elle reste ainsi un instant, visiblement satisfaite d’avoir tout englouti, puis elle entreprend une série de mouvements successivement ascendants et descendants qui ...
    ... la projettent subito dans l’extase. Le coït artificiel fait trembler la notaire de tous ses membres. Elle crispe sa main libre sur son entrejambe, la triture, se donne des claques sur le sexe. Elle éjacule à flots tandis que les yeux convulsés de son amant distant suivent chacun de ses spasmes. C’est à ce moment précis que, sans doute alerté par les hurlements de sa bourgeoise, le baron Hubert du Tronchay fait son entrée dans la pièce au volant de son fauteuil électrique, en robe de chambre vert épicéa, un plaid sur ses genoux. Il ne lui faut pas très longtemps pour réaliser la scène. Il a tout d’abord un regard pour son domestique, qui n’a pas eu le temps de couper sa caméra, puis son attention compassée se porte sur son épouse. Hélène, encore perchée sur le gode, a du mal à prendre une décision. Il y a trop d’options, trop d’urgences matérielles à régler en même temps. Elle fait finalement le choix un peu naïf de masquer son sexe de sa main libre. Hubert en vrai aristocrate est imperturbable. Sans un mot il fait demi tour et rejoint ses appartements. Je reste un peu plus longtemps, une dizaine de minutes pas plus mais pas moins. C’est exactement le temps qu’Hélène mettra pour venir à bout du sac de nœuds qui la retient au fauteuil. Je décide de boire une petite mousse pour clore cette délicate soirée. Le surlendemain, lundi donc, à la première heure je reçois une commande pour un nouveau chantier. Le baron souhaite que j’équipe aussi vite que possible sa villa de la Baule ...