1. Mathilde 1


    Datte: 03/08/2021, Catégories: Hardcore, Humour, Partouze / Groupe

    ... dans ce puits chaud et doux, lentement ma queue plongeait et quand j'arrivais au fond, je suis resté immobile jouissant de ce moment de pur bonheur, Mathilde resta un moment aussi immobile savourant ce bâton de chair qui était en elle, mais progressivement, elle mit en route ses hanches dans un mouvement chaloupé et sa vulve massait toute la longueur de mon sexe. Je me mis aussi en marche retirant et plongeant dans cet antre béni, après de nombreuses minutes, il y eu crispation et d'un coup Mathilde se cabra, faisant l'arc avec son dos pour me sentir encore plus profond et épuisée, elle retomba, elle venait d'avoir un orgasme, de mon côté, je ne résistais pas plus longtemps et violemment je l'éperonnais sans relâche jusqu’à ce que jaillisse du plus profond de moi, le produit de ma jouissance.Mathilde se leva subitement et annonça :- Il faut qu'on prenne une douche, que je change les draps, cela sent un peu trop ce que l'on vient de faire et il ne faudrait pas que Marcus ou Lucette s'en aperçoivent et ensuite il faut préparer le dîner. Ils ne doivent jamais l’appendre.- Évidemment ! Je réponds. Mais quand recommence-t-on ?- Sois patient, me répond-elle magnifique dans sa nudité de femme mature avec son sexe roux et ce filet blanc qui coulait, rappelant que j'étais passé par là.Une semaine s'était passée depuis le bal et nous profitions avec Lucette pour faire des promenades dans la campagne environnante. Souvent, nous bifurquions vers un petit bois avec une gentille clairière ...
    ... et je m'appliquais à lui faire découvrir le plaisir des sens. J'aimai ses petits seins ornés chacun d'une fraise des bois que j'adorai sucer. Si je me relevais sans honorer l'autre, elle me rappelait à son bon souvenir.- Et l'autre, il va être jaloux.Mais c'était plus dur d'essayer de remonter ses jambes pour atteindre sa petite culotte et quand rarement je l'atteignais, elle refermait ses cuisses pour m'empêcher d'aller plus loin. Il faut dire qu'en ce temps-là, on était très à cheval sur la virginité de la promise et qu'une naissance qui arrivait en deçà des 9 mois après le mariage était regardé comme honteux. Je n'insistais pas évidemment, mais parfois elle m'autorisait à lui caresser sa fentine et son petit bouton, ce qui lui permettait de bien jouir, mais malgré mes sollicitations, ce n'était pas réciproque et je rentrais assez frustré.J'essayais bien de compenser avec Mathilde, mais elle restait très distante, ne m'accordant rien.Je l'avais dans la peau, je ne pouvais faire autre chose que de la désirer. Lucette devait reprendre son école en demi pensionnaire, pour finir son bachot, Marcus était bien pris par son travail dans les vignes et Mathilde travaillait à la mairie le matin, quant à moi, j’étais encore en vacances : la rentrée universitaire n’ayant lieu qu’une quinzaine de jours après. Le dimanche avant la reprise des cours de Lucette, j'ai reçu une invitation pour le repas de midi, une fameuse goulasch segedin, malgré notre appétit féroce devant la succulence du ...