Le jour de mon mariage
Datte: 03/08/2021,
Catégories:
fh,
fhh,
extracon,
grossexe,
grosseins,
Oral
pénétratio,
Partouze / Groupe
fdanus,
fsodo,
init,
... tout doucement, les lacets lâchent. Par le haut, d’abord. Je ferme les yeux pour tenter de ne plus penser à rien, que cette robe qui s’ouvre un peu dans le dos, me libérant en partie de ce bustier qui me serrait terriblement la poitrine. Faut dire que j’avais pris soin à ce qu’il soit très serré afin de contenir autant que possible mes seins que j’ai très volumineux. Une fois les lacets défaits, je sens des doigts effleurer la peau de mon dos, remonter sur mes épaules nues, sous le tissu fin de mon voile… Drôle d’idée mais très bonne idée sœurette ! Ça fait tellement de bien… Ses mains me caressent avec un peu plus d’insistance dans la nuque, un instant de grâce appréciable ! Ses mains ? Elles me semblent bien fortes… Pas du tout les doigts fins de ma sœur ! J’ai un sursaut. — Félicitations Marie. Ces mots me glacent. Ils me tétanisent sur place. Cette voix qui les a murmurés à mon oreille, chaude, grave, je la reconnaîtrais parmi cent ! Putain, Marc ! Mon amant fougueux, l’étalon de ma jeunesse ! Lui que j’ai invité sans que mon Jean-Charlot ne connaisse rien de lui. Lui qui m’a fait jouir tant de fois, qui m’a baisée tellement fort ! Et dire que je n’ai jamais baisé avec mon désormais mari, pas même en rêve… Je me retourne d’un coup, les yeux ébahis. — Qu’est-ce que tu fais ici ?— Mais c’est toi qui, après tant d’années de silence, m’a invité à ton mariage, tu te souviens ? Toujours ce ton impétueux. Il n’a pas changé d’ailleurs : grand, brun, mal rasé, viril, des yeux de ...
... braise… Surtout pas de costard comme les autres, les bourgeois de ma trempe, mais un jean et une chemise largement ouverte au-dessus. — J’ai vu ta sœur. Elle est partie rejoindre ses amis. Tiens, je t’ai rapporté du champagne ma belle. Pas étonnant de la part de ma sœur, vu qu’elle préférait de très loin me voir arriver en soirée avec Marc plutôt qu’avec « Jean-Charlot ». Marc se dirige vers le meuble où il a déposé une bouteille de champagne, en sert deux coupes et m’en ramène une. — Merci… Excuse-moi… Tu m’as… surprise !— Après tout ce temps c’est normal ! Très belle cérémonie ceci dit… un brin pompeuse, pour tout dire carrément chiante, sans parler de ton croque-mort de mari, mais toi tu étais, tu ES ravissante ma chérie ! D’une main tremblante, j’apporte la coupe à mes lèvres et la bois d’un trait. Il reprend : — Enfin mariée alors ! Faut dire que ce n’est pas vraiment moi qui aurais pu t’offrir ça ! Ni la cérémonie et le château qui vont avec, d’ailleurs. C’est sans doute pour ça que tu m’as lâché sans un mot d’explication.— …— Tu ne dis rien ma petite garce ?— Tu as déjà tout dit : notre petite histoire de cul n’avait rien à voir ! Merde, ce que ces yeux me prennent aux tripes ! Surtout tenir son regard. Ne pas montrer de signes de faiblesse… malgré mon corps qui tremble de tout son long et mon cœur qui bat la chamade. Ça avait toujours été impossible de ne pas rentrer dans son petit jeu de provoc’. Sa réponse ne s’est pas fait attendre : — C’est sûr qu’entre le cul et ...