1. L’APPÂT PERVERS– Une infirmière en Beauce 04


    Datte: 03/08/2021, Catégories: Partouze / Groupe

    ... joues, le remerciant encore pour se disponibilité et sa gentillesse. Lorsque le soir, Hervé est de retour de son bureau, il trouve son épouse quelque peu décontenancée en train d’essayer tous ses achats. Elle est en soutien-gorge et avec un boxer, agrémenté de bas tendus par un porte-jarretelles noir. Il l’enlace aussitôt, lui disant qu’elle est belle. Leurs lèvres se joignent, alors que Hervé a entrepris d’ôter les frêles remparts couvrant le corps de son épouse. Elle proteste mollement, car tous ces essais l’ont quelque peu excitée, son entrejambe est devenue moite. Elle se retrouve bientôt nue devant son mari qui lui demande de s’asseoir au bord du lit conjugal. Il lui prend les pieds garnis de bas, les remonte à la verticale, tout en écartant le compas des jambes. La vulve glabre apparaît sous le petit ventre bombé de Valérie. Son mari contemple avec ravissement le vagin palpitant qui laisse s’écouler un filet de mouille. Valérie respire avec difficultés, la chaleur ayant envahi ses joues et son cœur se mettant à battre trop rapidement. Se savoir ainsi exposée sous le regard pervers de son mari, la trouble et la déstabilise. Pourtant elle reste immobile. Son époux est de plus en plus gentil avec elle. Il vient de dépenser, par Paul interposé près de 2 000€ pour qu’elle soit à la hauteur des épouses des notables de Chartres qui seront à cette soirée. Puis, à présent qu’il est administrateur de la banque où il officie comme directeur, il a droit à une femme sexy. Enfin se ...
    ... dit-elle, elle a aussi envie qu’il la fasse jouir, car ses cinquante ans lui jouent des tours, elle a de plus en plus envie de faire l’amour. Hervé se penche sur la moule baveuse offerte à son regard pénétrant. Il a bien remarqué que sa tendre épouse n’a pas cherché à refermer le compas de ses jambes et cuisses grandes ouvertes. Serait-elle en train de devenir la salope vicieuse qu’il désire le plus au monde ? IL s’agenouille et écartant les grandes lèvres du vagin qui palpite, il plonge sa langue dans les chairs suintantes de la liqueur intime de sa femme, allant aussi loin qu’il est possible. Puis, il prend le capuchon du bourgeon sensible dans sa bouche, le découvre et prend le clitoris délicatement entre ses lèvres. Valérie pousse un cri bref et se laisse aller au bonheur de la succion de son bouton d’amour, toute honte disparue de se savoir exposée aux regards concupiscents de son tendre époux. Lorsque sa femme a joui du cunnilingus savant qu’Hervé lui a appliqué sans aucune retenue, il la prend amoureusement dans ses bras et s’allonge sur le corps convoité. C’est elle qui prend sa verge entre ses doigts et qui l’introduit dans sa chatte engluée de mouille et de salive. La bête à deux dos s’agite dans une symbiose parfaite jusqu’aux orgasmes simultanés des deux partenaires… Hervé songe à ce que lui a dit Paul. « Tu sais, c'est dans les femmes vertueuses que l'on découvre les plus salopes qui soient, une fois qu'on a su leur faire découvrir la perversité qui est en elles. ...