Chienne (4)
Datte: 03/08/2021,
Catégories:
Zoophilie,
Je n’avais pas de chien… Mais pourquoi voulais-je un chien ? Oui, je suis curieuse de tout, je n’aime pas dire « je n’aime pas » sans avoir essayé, sans avoir goûté au moins une fois. Mais là, c’est quand même… cela me ferait aller loin, très loin. Non définitivement non… je n’étais quand même pas assez taré… Une annonce m’interpella, un homme avait mis une annonce qui sortait de l’ordinaire, il proposait son « grand chien » à une femme qui aimait cela voire à une femme curieuse, son chien avait l’habitude et il disait qu’il l’avait non seulement dressé pour qu’il soit le meilleur « compagnon » possible, mais aussi pour qu’il soit « tendre »… Tendre… drôle de mot pour ce style de relation. Cela me fit sourire… la suite encore plus, il disait que son berger n’était ni de natalité allemande ni pâtre, faisant référence à un sketch des frères ennemis… Il terminait son annonce par « tendre canin pour chaud câlin »… Non, ma décision était prise, je n’allais pas expérimenter ce style de relation, mais où était par contre le mal (et non le mâle) à se renseigner. En effet, il parlait de son chien et de ce style de relation en ajoutant qu’il était disposé à répondre à toutes les questions que pouvait se poser une novice. C’est ainsi que je suis entré en contact avec lui. C’était un homme de 72 ans, il disait être maintenant à la retraite mais qu’il était éducateur canin. Il ne dressait pas que les chiens d’ailleurs, mais c’était l’essentiel de son activité. Il travaillait beaucoup ...
... pour le cinéma, quand un jour un producteur la contacter pour un film. Ce producteur lui avait dit qu’il ne pouvait pas lui en dire beaucoup plus par téléphone mais qu’il connaissait sa réputation et la qualité de ses chiens. - Je sais que vous pouvez leur faire n’importe quoi et j’ai justement besoin d’un dresseur qui ose sortir des sentiers battus. Ce producteur financé des films pornographiques et voulait se lancer dans la niche zoophile… Au départ l’éducateur refusa, mais le producteur sût se montrer convainquant. Il allait en effet gagner sur un seul film bien plus que ce qu’il aurait pu espérer sur un an de dressage pour particulier. - Cette première ne fut pas facile à réaliser, je n’avais aucune expérience en la matière et mes chiens non plus, les seules saillies qu’ils avaient eues l’occasion de faire étaient avec des femelles de leur espèce. Il m’expliqua qu’avec le temps, il améliora sa technique et aussi les protections pour éviter de retrouver l’actrice labourer par les griffes du chien. - Je disais tout le temps : il doit la bourrer, pas labourer. J’aimais bien discuter avec lui, il était sympathique et plein d’humour. Il ne chercha à aucun moment à me convaincre, mais répondait avec franchise à toutes mes questions. Un jour il me proposa de venir passer un petit weekend chez lui, il me promit qu’il n’y avait aucune intention malsaine à mon égard et encore moins me forcer à quoi que ce soit avec ses chiens. - Ni avec moi d’ailleurs. Ajouta-t-il en riant. En effet, ...