Hélène 28 : Mél : deuxième épisode : la séduction, deuxième partie.
Datte: 04/08/2021,
Catégories:
Entre-nous,
Les femmes,
Hélène 28 : Mél : deuxième épisode : la séduction, deuxième partie. - Je me suis tellement amusé, je ne veux pas être seule. - Moi non plus, tu m’offres un thé pour commencer… Je pose le plateau avec le service, la théière, et les gâteaux secs, sur la petite table du salon. Hélène s’est calée dans le divan, le dos contre des coussins, les mollets sur l’assise. Du bout des pieds, elle se déchausse, et replie ses jambes, occupant deux des trois places du divan. Je m’agenouille, je lui remplis une tasse et lui tend la boisson fumante. Je pique deux coussins, et je m’installe sur le tapis, à hauteur de ses genoux découverts. - Dis donc, tu es toujours aussi coquine avec Pierre. - Tu veux dire aussi friponne. En fait, non je ne suis pas aussi friponne avec mon chéri. Il aime plus quand c’est suggéré. Mais une fois… - Une fois… - En fait, la première fois que j’ai enlevé ma culotte au resto, je l’ai perdue. Il l’a ramassée, mais c’est lui qui l’a pliée sous les yeux du serveur. J’étais aussi rouge que mes dessous. Un silence. Puis je pose ma tête sur le canapé contre ses jambes. De la joue, je touche le nylon de ses bas. Je m’enhardis, je glisse ma main sur son genou. Je la regarde. Elle me sourit. Je ne la quitte pas des yeux, je remonte sur sa cuisse, j’atteins la lisière de ses Gerbes. Doucement, elle relève un coin de son sourire. Elle sait où je veux en venir, elle est d’accord, je touche enfin sa chair tiède. - Stop. Je me bloque, je recule ma main. - Dégrafe ta robe. Je ...
... veux te voir en dessous. Toujours assise, je me déshabille en faisant glisser ma robe au-dessus des épaules. Je reste à genoux, en soutien-gorge, et en porte jarretelles, sans culotte. Hélène - Lève-toi ! Mel est magnifique, sa lourde poitrine présentée dans les balconnets, ses tétons en érection déformant la dentelle. Sa taille est gainée dans le large serre-taille, comprimant son petit ventre. Ses cuisses pleines se touchent à l’entrejambes, mais elles ne cachent pas un mont de vénus couvert d’une fourrure blonde. A peine dissimulées par son vison, des grandes lèvres, un peu grasses entourent un sexe fendu assez haut. Je ne verrais ni les nymphes, ni son bouton dissimulés par ce con charnu et appétissant comme un abricot mûr. - Tourne-toi. Des hanches rondes s’accordent avec un cul opulent, légèrement tombant. Les bas s’arrêtent au deux tiers des cuisses pleines, et charnues. Les coutures affinent des mollets ronds prolongés par des chevilles un peu fortes, mais élégantes Bref, une matrone splendide. Mél Je lui fais face. Sans quitter son sourire de madone, elle dégage ces deux seins de son corsage. - Mes seins, s’il te plait. Me lance-t-elle. J’embouche un téton et je le mordille pour l’agacer. Je pince délicatement l’autre. De légers soupirs approuvent mon initiative. Après quelques instants de cette sollicitation mammaire, une pression sur ma tête m’intime de descendre plus bas. - Trousse-moi m’ordonne-t-elle Je m’agenouille entre ses jambes et je bisoute sa cuisse en ...