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COLLECTION SM. Retour à mes envies. (8/x)
Datte: 04/08/2021, Catégories: Dans la zone rouge,
... clito ou les grandes lèvres, l’aiguille qui entre en moi est interminable et glisse doucement jusqu’à s’immobiliser comme pour mes seins sans sembler ressortir. C’est fait, je vais avoir du mal à passer les portiques de l’aéroport d’Athènes quand mon Maître décidera que mon voyage en Grèce sera terminé. • Aie ! Je croyais en avoir fini avec ce genre de douleur je sens une main s’introduire dans ma bouche et un morceau de métal se fixer à ma langue et la tirer fortement hors de son logement. C’est fou, mon cerveau est bien détraqué car j’ai une fraction de seconde l’envie qu’elle me soit arrachée. Fini ces « Aies » intempestifs qui doivent faire plaisir à mon Maître mais qui lui montre que mon corps malgré les maltraitance qu’il me fait subir et que j’adore réagit toujours. • Aie re ! C’est le borborygme qui sort de ma bouche quand une autre aiguille vient se planter dans ma langue et qu’elle la transperse. Que va-t-on me percer maintenant dans la position où je suis il me reste quoi, mon nez pour lui passer un os comme les femmes décrites dans les livres dans certaines tribus mangeuse d’homme ? Mes oreilles c’est déjà fait, bien que certaines femmes les fonts percés trois fois pour y mettre trois diamants soient six fois. C’est une idée après ma cave pour mon anniversaire pourquoi me priverais-je de ce plaisir, malgré les frais engagés il doit bien rester quelques devises à mon chère et tendre. Incroyable, ici je suis dans le domaine de mon Maître et il m’est impossible de ...
... prononcer le prénom de mon mari comme il semble que quand je sors notre cave semble être inexistant. Je prends définitivement conscience, ma vie est devenue double, voyage ou non voyage, douleur ou non douleur, tendresse ou non tendresse. J’ai le temps de philosopher car il semble que mon, ou mes bourreaux semblent s’affairer ailleurs jusqu’à ce qu’il me semble que ma cagoule me montre des éclats violent de lumière. Un deux trois quatre jusqu’à 10 éclats de lumière puis on tire sur la première aiguille aussi longue à sortir qu’à l’entrer. À chaque fois que l’une d’elles sort de mon corps l’aiguilleur la remplace par une tige plus grosse mais moins douloureuse car le passage est fait. Le plus excitant c’est celle dans mon vagin car il met du temps à entrer la tige bien plus grosse par son diamètre et parce que ma cyprine coule à flots arrosant certainement les mains de celui qui vient de pratiquer toutes ces opérations. Un nouveau temps de repos quand la brûlure se fait sentir sur chaque partie de mon corps percée. Quelqu’un doit les désinfecter par un coton alcoolisé qui m’est passé sur chacun de ces endroits m’apportant un léger bien être quand la douleur se fait sentir. Enfant ma maman avait toutes les peines du monde à m’attraper pour me soigner alors qu’ici dans ce lieu de perdition je tends mon corps en avant au risque de m’arracher bras et jambes. La main qui effectue ce travail est si douce qu’elle pourrait être celle d’Aline mais alors qui est à mon côté, mon Maître ...