1. Une journée où un corps vivra à ses dépends...


    Datte: 04/08/2021, Catégories: fh, fhh, inconnu, train, fsoumise, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, intermast, fdanus, jouet, jeu, tutu, fsoumisah,

    ... descendent, vingt veulent monter… Tu es poussée, bousculée, portée sur la partie droite de la rame. Coincée entre un homme d’une quarantaine d’années en costume cravate et sacoche à la main. Cette dernière appuie douloureusement sur ta cuisse. À ta gauche, un jeune homme, mp3 sur les oreilles, habillé d’un jean et d’un pull. Derrière toi, tu ne sais pas encore. Tu ne peux deviner s’il s’agit d’un homme ou d’une femme. Seul le contact de son sac à dos et de sa main posé contre ta cuisse te sont discernables. Dans ton état, cette main te fait craindre le pire, la sacoche devant te gêne, aussi tu essayes de te tourner légèrement et, miracle, tu trouves un peu de place. Te voilà installée, telle une tranche de jambon entre le cadre et l’étudiant. Cette pensée t’amuse et te fait sourire. Oups, revoilà les vibrations… oh ! là ! là ! La chaleur reprend possession de ton corps, ton sexe s’humidifie à nouveau. Tu as l’impression que l’odeur de ta chatte remonte à tes narines et, supplice extrême, qu’elle vient flatter tous les nez qui t’entourent. Tes tétons demandent à nouveau à percer le fin tissu de ta robe. Tu transpires, tu te mords les lèvres pour cacher le désir qui t’envahit. Personne ne semble faire attention à toi, à ton excitation. Le train entre dans une nouvelle gare. Tu sais que tu dois descendre dans cinq stations. Tu vas enfin pouvoir te laisser aller et jouir sous les saintes et divines vibrations de l’appareil qui a pris possession de ton corps. Tu sens ta mouille ...
    ... couler de plus en plus, glisser sur tes cuisses, parcourir la peau entre ton sexe et ton cul. Tes seins sont de plus en plus tendus et durcis par le plaisir. Les mouvements de la rame achèvent de faire monter ton excitation, tu sens ton être ne devenir que jouissance. Tes yeux s’embuent de larmes, ton être subit les premiers soubresauts du plaisir, tu vas défaillir, ton équilibre est de plus en plus précaire, tes jambes ne te tiennent presque plus. Encore quelques instant, tu pinces tes lèvres afin de retenir les cris qui montent du plus profond de toi. L’arrêt brutal de la rame est concomitant à celui du vibromasseur. Une nouvelle fois, tu es frustrée dans l’ascension de ta jouissance. Tu trépignes sur place, frappant le sol de tes pieds. Les deux hommes te regardent interloqués, surpris d’une telle hystérie, si soudaine. Leurs yeux se posent sur tes joues rougissantes de la gêne qui est la tienne et des envies de sexe qui te pénètrent depuis ton réveil. Horreur, leur regard descend vers tes seins. Entre ton désir, ton excitation et tes derniers mouvements, deux boutons ont lâchés, dévoilant ainsi une partie de ta poitrine charnue et si accueillante. Ce panorama ravit davantage le cadre qui a tes seins juste à portée de ses yeux perçants. Tu leur souris béatement. Le train repart dans sa course invariable. Tu sens une main venir au contact de ta cuisse. Une autre se pose sur ton ventre. Tu n’oses plus bouger. La main de l’étudiant vient courir sur ta fesse, épouser ton cul, il ...