Road trip aux U.S.A. (2)
Datte: 04/08/2021,
Catégories:
Voyeur / Exhib / Nudisme
Le lendemain, nous devions partir visiter une réserve indienne. Pour l’occasion Aurélie avait mis une petite robe légère, sans soutien-gorge comme elle aime bien le faire. Je ne sais si elle l’avait fait exprès, mais les deux boutons du haut étaient défaits, laissant entrevoir un peu plus que la naissance de ses sublimes seins. Hubert nous avait préparés un petit déjeuner gargantuesque, œuf, bacon, céréales, fruits, pan cakes, sirop d’érable…il y avait de tout ! Il nous demanda si la nuit s’était bien passée et si le lit était confortable, en esquissant un petit sourire. Feignant de m’en apercevoir, je lui répondis que oui, nous avions parfaitement dormi. Durant tout le petit déjeuner, notre ami lorgna de manière peu discrète dans le décolleté de ma belle, se levant pour lui servir du jus d’orange par derrière et ainsi mieux profiter de la vue. Aurelie sembla ne s’apercevoir de rien. Pour ma part ça m’excitait de savoir qu’il allait peut-être encore se masturber en pensant à ma fiancée. Il fût alors l’heure de partir et, laissant notre hôte à ses fantasmes, nous prîmes la route pour la réserve Indienne. En chemin j’évoquais l’attitude d’Hubert, qui la reluquait à profusion. Elle dit qu’elle n’avait pas spécialement remarqué, enfin pas plus que les autres hommes glissa-t-elle dans un sourire mutin. Par contre elle me confirma qu’au niveau longueur de sexe, il était certainement en dehors de la norme, si elle ne s’était pas trompée dans ce qu’elle avait entrevu la veille. Et ...
... sur cette remarque, elle éclata de rire. Il faisait une chaleur torride et, après plusieurs heures à visiter, nous avons décidé d’aller nous rafraichir sur le bord d’une rivière. L’herbe était douce, l’eau fraiche, Aurélie sublime dans sa robe printanière. Nous étions seuls. Je l’embrassais, ma main posée sur son sein à travers la robe, puis par l’ouverture de cette dernière. Je sentis son téton se durcir sous la caresse de mes doigts. De sa main agile, elle défit ma ceinture, ouvrit mon pantalon et en sortit mon sexe déjà durci par le désir. Elle commença quelques va-et-vient, puis, lâchant mes lèvres, l’englouti dans sa bouche dans une douce et humide caresse. Sa langue habile s’enroulait sur mon gland, ses lèvres pulpeuses se resserraient sur ma hampe. Mon excitation était alors à son paroxysme quand…j’entendis un chien et des cris d’enfants ! Une famille était en train de débarquer ! Rapidement je renfournais mon sexe dans mon pantalon et Aurélie se rajustait. Nous faisions mine de rien, et je ne pense pas qu’ils aient remarqué quoi que ce soit. Mais quelle frustration ! Nous décidâmes alors de rentrer à la chambre au plus vite pour pouvoir finir ce que nous avions commencé. Arrivés à la maison d’Hubert, celui-ci nous attendait assis à sa table de cuisine. Mais ce n’était pas la figure rieuse et sympathique que nous avions l’habitude de voir. Il avait le regard noir et un rictus de colère barrait son visage. Je compris instantanément les raisons de sa colère quand je vis, ...