Vacances avec ma Filleule (7) - Histoires de Sexe

Vacances avec ma Filleule (7)

... verre qui, une fois inséré dans l’anus, laisse pendre une queue de cheval. • Cool… J’achète. Tu as de super idées, merci ! • De rien. En plus, il est en véritable crin de cheval, c’est de la super qualité ! Je passe à la caisse et paie. • Dis-moi, Ben, je peux te demander un service ? • Vas-y, Cécilia, je t’écoute. • Tu vas peut-être trouver ma demande louche, mais si ta filleule veut bien, pourrais-tu m’envoyer une photo d’elle avec son nouveau jouet ? • Bien sûr. Donne-moi ton numéro de portable et je ferai ça pour toi. • Merci. Voici mon numéro. • Je peux tu poser une question à mon tour ? • Pas de souci. • Dis-moi, je n’ai pas pu m’empêcher de regarder ton petit cul bombé tout à l’heure quand tu marchais devant moi. • Coquin ! Et tu veux savoir quoi ? • Bah justement, avec une robe aussi près du corps, je n’ai pas vu la moindre trace de sous-vêtement. Tu as quoi comme astuce ? Car ma femme râle à chaque fois à cause de ça. • C’est simple, regarde ! Sans un mot de plus, elle agrippe le bas de sa robe, la remonte jusqu’à l’enlever entièrement sans une once d’hésitation. Cécilia se retrouve complètement nue devant moi. Je suis bouche bée. Elle a un corps magnifique : une poitrine ferme et ronde qui se tient parfaitement seule, un pubis lisse orné d’un tatouage tribal partant d’un pli de l’aine à l’autre, qui descend sur ses grandes lèvres encerclant par la même occasion son clitoris percé. Je la prends par la main et la fais tourner sur elle-même. Docile, elle se laisse ...

... faire ; l’arrière et tout aussi joli que l’avant. Son dos musclé sans l’être de trop finit sur une chute de reins sublimée par deux fossettes d’amour au-dessus d’un cul galbé. • J’ai ma réponse ; merci de cette vue magnifique. Tes amies doivent être contentes de pouvoir caresser ce corps de déesse. • Merci. Elles ne s’en plaignent pas, effectivement. En cadeau, je vous offre une boîte de préservatifs. • Merci, je les avais oubliés, ceux-là. Je lui lâche la main et prends mes achats. Cécilia remet sa robe et m’accompagne jusqu’à la porte pour me dire au revoir. À peine sorti, je reçois un SMS de Delphine me disant d’aller me promener car elles n’ont pas fini et qu’elle m’appellera le moment venu. Je retourne devant le salon poser mes achats dans la voiture et pars me promener sur le port. Je reçois le SMS. Arrivant à la voiture, mes deux nymphes m’attendent sur un banc. Nous rentrons à la maison pour nous préparer. J’offre mes petits cadeaux ; Delphine est contente et ne daigne même pas monter dans la chambre pour l’essayer : elle retire ses habits devant nous et la met directement. • Pffff ! Encore ses traces de sous-vêtements : je suis vraiment une grosse vache ! • Mais non, ma chérie. Dis-lui, Alex, qu’elle est belle. • Oui, tata, tu es trop belle, même enceinte ; je suis jalouse de tes formes. • Vous me dites ça pour me faire plaisir. C’est gentil, mais je trouve ça moche, ces marques. • La vendeuse m’a donné une astuce. • Laquelle ? • Tu ne mets rien en dessous. C’est ce ...