Les réfugiés (3)
Datte: 05/08/2021,
Catégories:
Partouze / Groupe
Les réfugiés 3 Participants Dr Ali Ben Jalloud le père 50 ans, une belle prestance, parlant couramment le français. Wouarda, la mère, Femme soumise à son époux de 45 ans. Alicia, l’ainée 21 ans, étudiante en lettres orientales à Beyrouth. Akim, 20 ans, étudiant au lycée technique en agriculture. Lilia, 18 ans la cadette vient de finir son bac. Jean Dutrou, Agriculteur, 49 ans, adepte de José Bovet. Viviane son épouse 48 ans. Julot son fils aîné 22ans prévu pour reprendre l’exploitation familiale. Lolette, la cadette 19 ans, un peu fofolle. Résumé : Résumé : La famille Ben Jalloud, après un long périple à travers l’Europe arrive dans un village de la Beauce, accueillie par la famille Dutrou. Après quelques petites frictions culturelles, les deux familles commencent à bien vivre ensemble, mieux, la nuit passée, ils ont eu une première expérience échangiste initialisée par les femmes. — Tu as aimé au moins. — Pas aimé, mais adoré. J’aimerai bien le refaire souvent comme cela. — Je dois t’avouer quelque chose, chéri, ce n’était pas moi. — Comment cela ? — Avec Wouarda, suite à nos discussions, on a décidé de temps en temps d’échanger nos époux. À ce qu’elle m’a dit, elle a bien apprécié ton gros gourdin, — Ah ! Ah ! Et toi pendant ce temps-là ? — Je suis retournée à l’école pour apprendre et j’ai bien aimé les cours. Au petit matin, les deux couples se retrouvent au tour d’une bonne tasse de café, ne sachant comment aborder le problème. Finalement, c’est Viviane qui lance la ...
... conversation : — Chacun sait que la nuit passée, on l’a passée avec le partenaire de l’autre couple. Pour ma part, ce fut merveilleux, si vous êtes d’accord, on pourrait le répéter à la demande. — Je ne l’ai appris que ce matin, bien que je m’en doutais un peu, je dois dire que je ne me plains pas, j’ai rarement eu un plaisir comme cela, peut-être la notion de nouveauté, d’interdit. Répond Jean et comme Viviane a eu aussi un très grand plaisir, je ne me sens pas coupable d’adultère, puisqu’il était partagé. — Moi, cela faisait déjà un moment que je flashais sur Viviane, cette nuit m’a permis de réaliser plusieurs fantasmes avec beaucoup de plaisirs. Ajoute Ali, volontiers, je referai cette expérience. — C’est pas différent pour moi, dit Wouarda, ce géant blond m’a souvent fait soupirer. J’ai apprécié sa sexualité simple et surtout sa force quand il l’a placée dans mon minou. Je n’ai jamais senti un tel diamètre, si ce n’est à l’accouchement. Mais les circonstances sont différentes et c’était il y a longtemps, s’il y a moyen de remettre le couvert, je ne suis pas contre. — Je vois que tout le monde est content de cette expérience, mais a priori, trop souvent tuerait peut-être le charme. On pourrait le faire une fois pas semaine, ou quand les enfants sont absents de la maison et peut-être pas le faire en cachette, mais ensemble, conclu Viviane. — Pour ma part, cela fait 22 ans que je le fais avec Wouarda et je ne peux pas dire que je ne suis plus sous son charme. Donc pour moi, je ...