La reine Margo - 9
Datte: 06/08/2021,
Catégories:
Humour,
Mature,
Voyeur / Exhib / Nudisme
... cage, cela compliquait quelque peut les choses.-Ces jolies jumelles aux mamelles plantureuses, dont l’une est une Reine comme vous le savez, la célèbre Reine Margo, la pute de son royaume, qui aime a se laisser baiser par qui en as envie, donc, elle et sa sœur jumelle vont éteindre toutes ses bougies avec leur lait. Et quand ce sera fait, tous les messieurs qui le voudront pourront venir de se faire sucer en poussant leur bite dans la cage. Elles se feront un plaisir de le faire, ou de vous donner à boire du bon lait de femme. Amusez-vous dit-il avant de filer.V’là la foule qui nous applaudit et qui attend que l’on commence ce stupide numéro d’on j’avais eu l’idée, mais quant au reste, ça, c’était sans doute l’idée de Marie.-J’espère qu’il te reste du lait Jeanne.-Ça, c’est pas un problème, le problème c’est de viser à travers ce foutu grillage.-Si on vise les mêmes chandeliers en même temps ça ira peut-être plus vite.-Bon, allons s’y.Nous v’là à nous tortiller pour nous mettre à genoux dans la cage étroite en riant comme des folles en nous pompant les seins jusqu’à ce que le lait pisse. La foule se mit à rire et à nous encourager tandis que nos jets de lait s’élevaient en passant entre le grillage pour retomber sur les chandelles. Étonnamment, cela alla très vite, le plus difficile c’était de se déplacer sans se donner de coup de coude dans un œil ou au ventre. Heureusement qu’il y avait de la paille sur le plancher de la cage, cela protégeait nos genoux, mais mes fesses ...
... elles, elles étaient plaquées dans le grillage comme celle de Jeanne y laissant de grosses marques rouges. Je me mis a rire tout seul en me massant le sein, voir nos jets de lait gicler à travers le grillage sur les chandeliers c’était, la encore, un bien étrange spectacle. La foule aussi riait, même Maria et mon capitaine entre de se faire sucer par une jolie fille. Nos quatre jets de lait éteignirent peut a peut les petites flammes. Quand la dernière chandelle s’éteignit enfin, on fut applaudi. Les nains vinrent enlever les chandeliers et la foule s’ébroua vous venir nous entourer. Pencher comme nous étions moi et Jeanne, on ne voyait plus que des cuisses et des sexes d’homme ou de femme au travers du grillage tremper de lait. La plupart des hommes se branlaient ou se faisant branler et étaient déjà bandé dur. On continua a faire gicler le lait visant des bouches ouvertes d’homme ou de femmes et des bites de toutes formes et de toutes longueurs, puis peut a peut, ces bites dures traversèrent le grillage nous chatouillant tout partout ; les fesses, les mollets, les pieds, les épaules et le visage tellement cette cage était étroite. De tous les côtés, des pénis pointaient contre nous comme de petites lances de chaire rose. Impossible de faire le moindre mouvement sans en heurter plusieurs. Toutes les femmes s’étaient placées derrière les hommes pour se contenter de regarder. Ceux si silencieux, les yeux vicieux, n’espéraient qu’une chose, qu’on les fasse jouir. La méduse était ...