Echange de bons procédés
Datte: 06/08/2021,
Catégories:
Épouses affectueuses,
... elle l'avait carrément envoyé balader. Connaissant le caractère assez fort de Cath, j'imaginais bien la scène et j'en étais désolé pour lui. J'étais aussi un peu étonné car j'imaginais Cath comme une amante passionnée, voire perverse, mais je me suis bien entendu bien gardé de lui faire part de ce genre de réflexions... Bref, à la suite de ces aveux, Christian commença à me dire que j'avais bien de la chance de pouvoir baiser des salopes quand je le voulais. J'approuvai en rigolant, en ajoutant que ce n'était pas de tout repos non plus ; mais le fait qu'il emploie ce genre de langage, inhabituel chez lui, prouvait bien sa frustration et notre degré d'alcoolémie... Je commençai à lui raconter comment Laurence m'avait harcelé toute la nuit pour me laisser complètement flagada au petit matin. Immédiatement, dans un regain d'enthousiasme, il déclara que c'était tout à fait le genre de nanas qu'il lui fallait, et qu'en plus elle était vraiment bandante avec ses petits tailleurs et ses escarpins de petite secrétaire salope. Comme tous les mecs mariés à une brune, il rêvait de se taper une blonde et Laurence était son fantasme absolu depuis qu'il l'avait rencontrée (et entendu mes histoires). Il se trouve que Laurence le trouvait plutôt beau gosse ; elle me l'avait dit alors que je la pilonnais un soir, pour me rendre jaloux et me pousser à me surpasser à ce moment-là. C'est le genre de délires pervers qu'elle adore (et moi aussi d'ailleurs). Et lorsqu'elle disait qu'elle trouvait ...
... un mec bien, cela voulait tout simplement dire qu'elle aimerait bien se faire sauter par lui. Elle est comme ça, Laurence : simple, directe, libérée, voire un peu nympho sur les bords. Pour lui remonter le moral, je confirmai à Christian qu'elle le trouvait pas mal et que, la connaissant, il n'y aurait aucun problème s'il voulait se la faire. Certes, nous avions pas mal picolé, mais sur ce dernier point j'étais sûr de moi. Immédiatement, son œil s'alluma, c'est tout juste si sa langue ne se mit pas à pendre comme celle du loup de Tex Avery. Il était surexcité et me pressait de questions : — C'est vrai? T'es sûr? — Ouais, ch'uis sûr j'te dis. Si elle trouve un mec bien, elle est prête à se le taper. — Et toi, ça te gêne pas? — Bah non, on est pas marié, j'm'en fous, et pis ch'uis pas très fidèle non plus, hein? — Putain... rien que d'y penser, j'ai la gaule! Quand je pense que je vais encore devoir me branler, en plus, ça me rend dingue. J'en peux plus de Cath, elle me fait vraiment chier. Elle est aussi chaude que ce glaçon-là! Putain, fait chier... — Écoute Christian, j'sais pas si c'est bien pour ton couple, tout ça, mais si tu veux je t'arrange un truc avec Laurence... — Non??? Tu déconnes? Ouais, ouais, tu parles, cette nana, elle me fait vraiment tripper, oh ouais, et pis tu sais, mon couple... — Ouais je sais... C'est marrant, tu vois ; j'imaginais pas Cath comme ça... — Comme quoi? C'est devenue une nonne, j'y crois pas ; à se demander si elle a pas un mec... Tu crois ...