On va s'aimer - Histoires de Sexe

On va s'aimer

... poignets sont liés aux montants du lit par des menottes dont les chaînes métalliques tintent à chaque coup de boutoir, au rythme des « Han ! » que pousse l’homme, qui dans l’action transpire beaucoup. Action qu’il commente avec la verve inspirée des grands prédicateurs : — Tu kiffes, hein, que je te défonce la rondelle, petite chagasse ? Ton petit œillet rose est tout écartelé autour de ma pine : c’est splendide. Tu vas voir, ou plutôt tu vas sentir : je vais t’endaufer toute la nuit, comme d’habitude, parce que je sais que tu adores ça, te faire bourrer jusqu’au fond du troufignon par mon zob : sens comme il est long et gros ; il l’est pour toi ! Putain de bon Dieu, tu es BONNE avec ton petit cul tout blanc et tout serré : il n’y a pas d’autre mot.(Il la fesse à toute volée puis saisit les globes fessiers à pleines mains pour les claquer encore plus furieusement.) Je te parle en toute connaissance de cause, parce que j’y connais tout un rayon, en nénettes ! Des blondes, des brunes, des grandes, des petites, des blacks pointure 45 avec des muscles de fer qui m’ont dominé, tenu en laisse comme un toutou servile et flagellé jusqu’au sang pendant que je léchais le cuir de leurs bottes, des asiatiques si frêles et menues qu’on aurait dit des fillettes si elles n’avaient pas des fentes ouvertes comme des cratères de volcans en éruption où dégoulinait la cyprine à grands flots. Je me souviens d’une rousse fortement poilue du con, des aisselles et même aussi des jambes qui ...

... s’appelait Pandora. Ah, Pandora ! Elle sentait le sous-bois et la crème solaire dont elle se tartinait tout le temps parce qu’elle avait la peau très blanche. J’ai connu aussi des épilées toutes lisses et roses de partout, des nymphos explosives avec le feu au cul et des culs serrés auxquelles il faut offrir des tonnes de fleurs avant qu’elles le desserrent assez pour que je les enfile jusqu’au fond pendant qu’elles crient « Maman ! » À l’occasion, des putes. C’est super, les putes : on leur donne du blé et on peut tirer un coup comme on veut, au gré de son humeur. Mais toi, t’es encore plus kiffante que ta daronne : mon frangin a bien fait de l’épouser, celle-là, et assez cool pour me la prêter un peu, parce qu’elle est tellement chaudasse que même en la besognant à deux on n’arrive pas à la satisfaire, malgré la quantité de foutre qu’elle nous a englouti par tous ses orifices. Tabarrnak, une crise d’agace-pissette, comme on dit par chez elle, au Québec !(Il en imite l’accent.) Le monde entier lui est passé dessus, et même à cinquante balais elle n’est jamais fatiguée d’ouvrir les cuisses, et la bouche aussi, à tous les braquemarts levés qui passent à sa portée. C’est sans doute parce qu’elle a été élevée chez les Sœurs. Avec elle, tu as été à bonne école. Toi, tu es comme une oie qu’on plume, qu’on fouette et qu’on farcit : c’est comme ça que je vois la femme parfaite, et pas autrement. Ah, ma salope, je viens : tu sens comme ça gicle fort dans tes boyaux ? Tiens, en parlant d’oie ...