Ch. 9 : Lettre à Laura (9)
Datte: 07/08/2021,
Catégories:
Anal
Hardcore,
... pouvais pas détourner le regard.- Ma sœur te plait on dirait? Tu aimerais te la faire?- Non j'ai pas envie de me la faire comme tu dis, j'ai juste mater son énorme poitrine...Ma révélation te surchauffes et en plaquant ta main sur ma queue:- Je ne sais pas toi, mais moi j'ai très envie de sexe et je suis sûr que tu en as envie aussi.- Bien sûr que j'en ai envie, mais pas ici, ton père pourrait nous surprendre...- Mais non, ne t'inquiète pas, il est rentré. Allez, laisse-toi faire.On se déshabille et je te prends avec fougue sur l'établi. La peur d'être surpris en plein acte nous surexcite et ma verge coulisse facilement en toi tellement tu mouilles. Puis tu t'accroupis et tu me suces pour recevoir mon jus dans ta bouche.C'est à ce moment là que la porte s'ouvre et que Sandrine nous grille. J'essaye de cacher mon sexe avec mes deux mains, mais trop tard, elle a tout vu. Visiblement choquée, elle n'a pu dire que:- Oups, désolé.Puis, elle est sortie en refermant soigneusement la porte. Une crise de fou rire s'est emparée de nous et on a fini notre affaire. Ce soir là, elle nous a à peine adressé la parole.DIMANCHE:Nous n'avons pas bien dormi, un orage bruyant a éclaté dans la nuit.A notre réveil, plus un nuage, le soleil a repris toute sa splendeur.Après le petit déjeuner, tu me proposes une petite ballade, pour me montrer un petit coin sympa où tu aimes aller depuis ton enfance.Tu me guides donc dans un petit bois qui se situe à environ un kilomètre de chez tes parents. Nous ...
... empruntons un sentier boueux, à cause des fortes pluies tombées dans la nuit, qui nous amène à un petit ruisseau. Nous nous posons là en pleine nature, seuls. Nous profitons de l'instant en discutant et en nous câlinant tendrement.Tes bisous dans le cou allument la flamme de mon désir et soudain je me suis souvenu d'un de tes fantasmes. Tu m'avais expliqué en regardant l'émission Fort Boyard, que tu aimerais bien faire l'amour dans la boue. Je sais que nos câlins t'ont chauffé également et je t'invite à réaliser cette coquinerie. Nous ôtons nos fringues, tu t'allonges sur le dos et je démarre un cuni. Tu gémis rapidement. Puis je te pénètre, tu mouilles tellement que ça coulisse tout seul. Mes coups de reins brusques t'arrachent des cris de plaisir, tu te lâches, sachant qu'on est seul dans ce bois.C'est ensuite toi qui vient sur moi, je sens la boue fraîche s'étaler partout sous moi. Tu me chevauches telle une guerrière.Nos mains sales caressent nos ventres, nos seins. Mise à part nos visages et nos sexes, nous sommes recouverts de terre humide. Même ta belle chevelure rousse est devenue marron. Notre partie de jambes en l'air est torride, tu as des spasmes, ton vagin se contracte, ton orgasme est proche. Je décide de te prendre en levrette. Sous mes coups de boutoir, tes petits seins s'agitent, ta cyprine coule le long de tes cuisses et tu jouis avant moi en proférant:- Oui, vas-y, encore, c'est trop bon.J'accélère mes va-et-vient le plus vite possible en faisant éclabousser ...