Soirée orageuse - Histoires de Sexe

Soirée orageuse

... lui, il eut sa tête au niveau de son pubis, l’envie était tellement forte qu’il avança sa tête et la plaqua contre son sexe qu’il sentait humide, par surprise il remarqua que la culotte était ouverte au milieu, alors il essaya d’y glisser la langue pendant que les mains de sa bohémienne lui caressaient les cheveux tout en dansant. Elle se laissa faire, offra son sexe humide à la langue agile qui la pénétrait et la faisait gémir. Puis elle se retira, s’écarta de lui, l’embrassa et s’assit à l’opposé de lui. De la pointe des pieds, elle caressa le sexe dur de son prisonnier, le fit glisser le long de son sexe lentement, tandis qu’il faisait glisser son pied dans son entrejambe, il trouva la fente de la culotte et y passa le pouce du pied. Il frôla les grandes lèvres charnues et humides de sa maîtresse, doucement, puis accéléra le mouvement, il sentit l’élixir de l’excitation couler le long de son antre tant désiré. Elle poussa de légers gémissements, prit d’une trop forte excitation, elle glissa ses doigts à travers l’ouverture et commença à titiller délicatement son clito, à se caresser devant lui, lentement, quand elle aperçut qu’il n’en pouvait plus. Elle se jeta sur lui, ...

... l’embrassa follement, lui enleva son caleçon, prit son sexe entre ses mains et commença à le masturber, lentement, puis y déposa quelques baisers. Sa langue courait le long de cette verge dressée par sa volonté, elle descendit jusqu’aux bourses, remonta en faisant le tour du gland du bout de sa langue, elle commença à le prendre à pleine bouche lorsqu’elle entendit sa moitié gémir de plus en plus fort. Son sexe en bouche, elle fit des va et viens en le serrant bien, comme si elle tétait un biberon, elle accéléra le mouvement de plus en plus vite, elle le sentit partir, alors elle se dégagea, l’embrassa et continua à le faire monter en le masturbant. Le rythme effréné de ses mains le fit gémir de plus en plus fort, c’est au moment de la jouissance qu’elle lui suça la langue, et ne la lâcha plus, il se déversa sur sa belle poitrine qu’il aimait tant. Elle l’embrassa encore, le tira de ses liens, s’essuya la poitrine et le prit dans ses bras. Il la serra très fort contre elle, l’embrassa encore et encore en laissant ses mains parcourir ce corps qui était arrivé à lui faire atteindre le 7iéme ciel. Allongés l’un contre l’autre, après un dernier baiser, ils s’endormirent, épuisés, heureux.