1. Fatalisme. M.A.K. my life... ou presque. VI


    Datte: 07/08/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... avant de stopper ses frottements contre mon cul. Elle était essoufflée, moi aussi. Nous sommes restés quelques secondes sans bouger. Puis elle a déposé un bisou sur ma nuque. - C’était bon. Merci Didou. Tu sais souvent mes amies me disent “il a un beau cul ton mari”. Les femmes regardent souvent le cul des mecs. Ne lui raconte pas. Cela restera un secret entre nous. - Mais tu es ma femme. - Chuuuut.... Tourne toi mon chéri c’est ton tour. Elle a commencé par me branler avec application. J’avais le pantalon du pyjama autour de mes genoux. J’attendais la suite avec impatience. Ce moment que j’appréciais tant ou elle vient pour me chevaucher. Mais elle ne bougeait pas et continuait sa savante masturbation. J’en voulais plus. Je lui ai demandé de venir sur moi. - Tsssss ne complique pas les choses mon amour. Je t’aime. - Mais t’es ma femme Margot... Ma femme! - Moins fort tu vas réveiller les enfants. Et je compte bien rester ta femme encore longtemps. Laisse-moi te gâter. J’ai plein de manières pour te faire jouir. J’ai joui entre ses mains. Rien d’autre. Ni sa bouche, ni le reste. J’avais honte de m’être laissé manipuler de cette façon. Le lendemain soir, je n’avais plus de boulot. L’entretien a été un vrai supplice et une humiliation supplémentaire. Dans son bureau, mon patron m’a crucifié: - Résultat lamentable... Vous mettez en péril mon service.... Vous semblez dans un autre monde.... L’entreprise a besoin de gens qui la défende... Vous devez être un prédateur... Défendre ...
    ... votre territoire... Ne pas se laissait marcher sur les pieds.... Je ne vous reconnais plus... Vos collègues vous trouvent bizarre.... Vous ne défendez pas votre gagne-pain... Vous ne méritez pas votre salaire.... Etc.... Etc.... Au bout d’une demi-heure, complètement cassé, je commence mollement à me défendre. A un moment sans même me rendre compte, je m'aperçois que je lui raconte tout ce qui se passe avec ma femme. Je parle vite comme pour me soulager. Je ne sais même pas pourquoi je parle de ma vie privée. C’est plus fort que moi. Les mots sortent contre ma volonté. Besoin irrépressible de raconter ce que je vis. A n’importe qui... Il m'interrompt brusquement d’un ton glacial: - Vos histoire de cul ne m’intéressent pas... Si vous êtes cocu ce n’est pas mon problème. Ni celui de la boite. Vos problèmes personnels ne doivent pas interférer avec les nécessités de la réussite de notre entreprise. Il y avait du dégoût et un grand mépris dans sa voix: - Vous êtes libre de laisser votre femme se faire sauter par le premier venu. En tout cas nous n’avons plus besoin de vos services, nous sommes une entreprise honorable et mes collaborateurs doivent l’être aussi. Passez voir notre responsable des ressources humaines dés que vous aurez vidé votre bureau de vos affaires personnelles. L’entretien est clos... Mais à titre personnel laissez-moi vous dire que si vous en êtes arrivé là, c’est uniquement de votre faute.... Je vous souhaite le bonjour.... Le directeur du personnel était très ...