1. Innocente mais impudique Manon


    Datte: 07/08/2021, Catégories: jeunes, freresoeur, vacances, plage, bain, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Masturbation massage, nopéné, uro, portrait, prememois, Inceste / Tabou

    ... ne vas pas aller en boite sans culotte ? lui dis-je, sur un ton de reproches. Et si, elle va aller en boîte sans culotte. Et je vais docilement la suivre, danser près d’elle pour la surveiller, danser avec elle lors des rares slows car je ne veux pas qu’un garçon se rende compte de son absence de culotte. Ça la fit beaucoup rire : — Tu veux devenir mon ange gardien ? m’interrogea-t-elle amusée, je te promets de mettre une culotte demain. Cette nudité nous permettait, revenus chez nous, de conserver la liberté de ne pas systématiquement nous couvrir lorsque nous allions à la salle de bain, ou, quelquefois l’été, pour prendre nos petits déjeuners. Nos parents nous avaient appris à accepter ce mode de vie qui nous convenait parfaitement. Je n’ai jamais eu, comme me le racontaient certains copains, besoin de regarder par le trou de la serrure pour voir les seins de ma mère ou les poils qui couvraient son sexe. J’ai toujours su que ma sœur et moi étions différents. J’ai bien sûr constaté que nos corps, avec l’âge, se modifiaient, que des seins poussaient sur sa poitrine, que des poils blonds apparaissaient entre ses jambes, mais tout ceci était naturel. Lors de nos vacances j’avais vu des filles de tous âges et je n’étais donc pas surpris de son évolution. Tant que nous étions nus tous les deux, le matin dans la salle de bain, nous préparant à partir en cours, rien ne nous perturbait. Mais lorsque Manon, le plus naturellement du monde, enfilait une petite culotte et agrafait un ...
    ... soutien-gorge un peu sexy, j’avoue que ceci commençait à provoquer chez moi un certain trouble, encore largement contrôlable. Nue ou entièrement habillée, elle était ma sœur, rien de plus. En sous-vêtements, elle devenait une très belle fille qui s’exhibait devant moi. Et j’avais de plus en plus de mal à le supporter. Elle finissait tout de même par s’habiller, enfilant le plus souvent une minijupe et un petit haut. Tout rentrait dans l’ordre. Mais Manon n’avait aucune conscience du pouvoir érotique de certaines de ses attitudes. Ainsi, pour lacer ses petites chaussures, elle s’asseyait par terre, genoux écartés, culotte largement exposée, sans se soucier si je me trouvais assis en face, sur ma chaise, laçant les miennes. Depuis notre plus tendre enfance nous partagions la même chambre, après avoir longtemps partagé le même lit et, le soir lorsqu’elle se déshabillait, laissant traîner ses petites culottes, elle n’imaginait pas mon trouble, à son comble lorsque je devais les ramasser pour ne pas marcher dessus. Lorsqu’elle s’asseyait en travers dans le canapé, dos contre l’accoudoir, pour regarder la télévision, ses talons remontés sur l’assise du fauteuil, les genoux écartés, elle ne se souciait pas de savoir si, assis à côté d’elle, je ne suivais pas toujours toutes les émissions. Et si, par hasard, mes yeux croisaient les siens, son innocence totale l’empêchait de prendre conscience de ce qu’elle m’exposait ainsi et nous conversions le plus naturellement du monde, moi assis ...
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