1. Ce soir je travaille tard


    Datte: 07/08/2021, Catégories: fh, couple, Collègues / Travail amour, Oral tutu,

    ... cela à Sarah : — Je serais curieux de voir sa tête si je le traînais hors du bureau, mais je ne peux pas vraiment y entrer.— Je peux te passer le code de l’immeuble. Après, pour le bureau, tu n’auras qu’à frapper fort à la porte, il t’ouvrira.— Ce serait sympa, s’il te plait. Elle me donne le digicode. Je file sous la douche et la remercie. Je suis tout excitée du coup. Je vais pouvoir vraiment te surprendre. Je ne pensais pas avoir ce genre de pensées mais peut-être que je pourrais te faire du bien au bureau. Je voulais juste t’embêter, qu’on s’embrasse. Mais pourquoi ne pas faire plus ? Ça te fera des souvenirs ensuite. Je me rends compte que j’ai descendu la main entre mes cuisses et que je me caresse lentement en pensant à tout cela. Oui, je vais y aller, je vais t’exciter et je vais m’occuper de toi au bureau. Je ne me vois vraiment pas m’exhiber mais si on est que tous les deux, une petite pipe ça devrait être vite fait après deux semaines sans se voir. Je finis vite fait de me doucher. Je me sèche en vitesse, enfile un ensemble string/soutif noirs. Je passe une robe. Allez, si je veux que ce soit efficace, j’ajoute des bas auto-fixant. Un peu de parfum, de gloss sur les lèvres. J’attrape mon sac à main, mes clés de voiture, enfile ma paire de talons et me voilà partie. Je me dépêche, il ne faudrait pas que tu partes maintenant. En dix minutes je suis sur le parking de ton bureau. Je commence à me demander si c’était vraiment une bonne idée. Mes talons claquent sur le ...
    ... sol. Je déteste ces chaussures, c’est bien pour t’allumer ! Je croise quelqu’un qui sors de l’immeuble voisin. Une autre entreprise. Heureusement, j’aurais du mal à justifier à un de tes collègues ce que je fais là, habillée quasiment en tenue de soirée à 20 h passées. Je passe la porte d’entrée, merci Sarah. Je monte au deuxième étage. Je suis devant la porte de votre bureau. Que j’ai l’air conne ! Je fais quoi ? Allez, je vais frapper, et quand tu ouvriras, je me jetterai à ton cou, t’embrasserai et puis je te sucerai le plus rapidement possible. Toc. Toc. Toc. … Tu n’es plus là ? Des bruits de pas. J’ai dû attendre dix secondes mais cela me semble être une éternité. Tu m’ouvres. Le couloir est sombre, tu ne me distingues pas vraiment. J’avance dans l’open-space éclairé et là, tu es très étonné de me voir. Mais je ne te laisse le temps d’exprimer qu’un « ma chérie ! » étonné avant que mes lèvres ne se collent au tiennes. Pour une fois, c’est ma langue qui force l’entrée de ta bouche et non l’inverse. Je te serre dans mes bras. Et avant que tu ne reprennes tes esprits, je te murmure entre deux souffles : — Marie a annulé. J’avais trop envie de toi. En te disant cela, je glisse ma main entre nous et t’agrippe l’entrejambe. — Je vais m’occuper de toi, ne dis rien, s’il te plaît. Tu sembles mal à l’aise que je sois là mais je m’en moque. Il n’y a personne. Trop de lumière à mon goût pour que je me comporte de façon aussi coquine, mais tant pis. Je suis déjà à genoux, ta ceinture ...