Histoire d'eaux 1982
Datte: 08/08/2021,
Catégories:
ff,
jeunes,
profélève,
poilu(e)s,
fépilée,
piscine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
uro,
Masturbation
Laure habite encore chez ses parents, une villa située dans le parc du centre sportif municipal d’une banlieue huppée. Elle profite de ses moments de calme pour y courir, ou bien, luxe absolu, se baigner seule dans l’une des deux piscines. Cette rentrée est importante car elle prépare l’admission dans une grande école réputée et, à part le sport, elle a prévu de sacrifier ses loisirs pour réussir. Footing le matin, cours et révisions la journée et natation le soir. Laure a toujours aimé l’eau. C’est facile pour elle, née d’un père directeur d’un centre de loisirs et d’une mère prof de gym, elle a toujours vécu à proximité d’un bassin. Très jeune, elle a appris à nager et, même si elle a préféré les études à la compétition, elle a continué de nager et même de pratiquer quelques années la natation synchronisée. Ces activités lui ont donné beaucoup de grâce et sculpté une belle physionomie. L’habitude de voir garçons et filles en maillot, ou nus dans les vestiaires et sous les douches, sans fausse pudeur, avec le naturel des sportifs, lui a appris à aimer les corps et le sien en particulier. Petit à petit elle a commencé à mieux apprécier la courbe d’un muscle, l’arrondi d’une hanche, le rebondi d’une fesse. Elle sait reconnaître le grain de la peau. Discrète sans être naïve, elle a perdu sa virginité dans les bras d’un gentil garçon, sans douleur ni grand plaisir et chaque fois qu’elle a ressayé les expériences masculines se sont révélées bien ternes. Dans ces moments elle ...
... pensait à des filles plutôt qu’au mec s’agitant au-dessus d’elle. C’est donc tout naturellement qu’elle s’est tournée vers ses amies. Sans être experte, ce glissement vers Sapho lui a fait découvrir le plaisir à la fois doux et sensuel, dont les fulgurances se traduisent souvent par une moiteur inondante… Comme tous les ans, c’est devenu un rituel, Laure achète ses premiers maillots de la saison, une pièce pour le sport et deux pièces pour elle, plus sexy. Elle se regarde dans le miroir de la cabine d’essayage d’une boutique du centre-ville. Elle vient de passer un superbe maillot blanc. Le soutien-gorge est bien rempli par ses deux jolis seins d’un honorable 90b. Elle lisse avec application l’étoffe du bonnet, souriante à l’idée que ses aréoles si foncées seront peut-être visibles quand le tissu sera mouillé. En ajustant la culotte elle se dit qu’il est temps qu’elle mette un peu d’ordre dans sa toison en friche. Elle qui était si fière de ce buisson qui a fait d’elle une femme et plus la petite fille qui courrait toute nue au bord de la piscine. Sous les douches, les filles se regardent, comparent leurs pilosités. C’est à celle qui aura la plus grosse touffe. Il parait que ça plaît aux mecs, se dit-elle, mais plaire aux garçons… Elle se trouve pas mal avec ses longues jambes musclées, encore bronzées au sortir de l’été, son ventre plat où se dessinent délicatement ses abdominaux. Ses épaules fines sont un peu larges, car toutes ces années de natation ont un peu modifié son ...