1. Ne vais-je pas le regretter ? (2)


    Datte: 08/08/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme Première fois

    ... comme ça l’a fait sourire, je lui ai dit que s’il voulait toujours de moi, j’étais du coup plus disponible et prête à m’impliquer un peu plus que l’année passée dans une relation avec lui.Audrey récupère à nouveau ce qui pouvait rester de ma semence sur mon ventre — Eh bien, dis donc, t’es un sacré gourmand… Il n’en reste presque plus, tu vois que tu aimes ça, mon cocu ! me dit-elle l’air radieux en regardant mon pénis reprendre vie. — C’est donc avec lui que tu as passé la soirée ? lui demandai-je. — Il m’a effectivement proposé de passer la soirée avec lui.Elle commence à déboutonner son chemisier et enchaîna en le retirant doucement : — Il a été infatigable ! Je suis crevée, mais qu’est-ce que c’était bon ! Y a pas à dire, ça queue est quand même vachement meilleure que la tienne…La voilà à moitié nue, mes yeux la caressent du regard et j’ai l’impression de redécouvrir son corps, sublime et ô combien désirable. Ce corps qui quelques heures auparavant était certainement couvert de caresses provenant des mains d’un autre… J’imagine combien il a dû aimer la caresser, l’embrasser et la désirer…Mes mains remontent alors le long de ses cuisses, soulevant de la sorte sa jupe afin de, moi aussi, parcourir sa peau du bout des doigts et lui flatter doucement les fesses. J’aspire son pied, désormais propre, comme pour le laver encore et être sûr de n’avoir rien laissé. Audrey poursuit quant à elle son effeuillage en laissant glisser sa jupe aux chevilles. La voilà presque nue, ...
    ... seul un léger tanga bordeaux l’habille encore. — J’ai joui comme cela faisait des années que ça ne m’était pas arrivé. Infatigable ! Il a remis le couvert trois fois… et m’a fait à chaque fois grimper aux rideaux. Il voulait que je reste pour la nuit et ne voulait plus me laisser repartir.Je me redresse et m’approche pour l’embrasser doucement dans le creux des reins, elle sent un peu la transpiration, mais je m’enivre cette odeur. Sa peau est si douce, chaude… — Je lui ai dit que je resterai la prochaine fois, mais que ce soir je devais rentrer. Tu veux savoir quel est le fantasme dont je te parlais tout à l’heure ? — Dis-moi, ma puce ? — Eh bien, j’ai joui comme jamais et… je suis encore pleine de lui, et… je dois avouer que de te voir aimer m’embrasser le sexe et récupérer de la sorte le fruit du plaisir que nous avons eu me rassurerait encore un peu plus concernant ton désir d’être cocu, de me laisser une totale liberté et… cela assoirait un peu plus encore ton statut de cocu. Dis-moi, tu veux bien ? — Tu m’en demandes beaucoup là… — Ne te fais pas prier, mon cocu. Je suis sûre que tu vas adorer et tu ne peux pas t’imaginer comme ça me ferait plaisir !Et elle rapproche son bassin de mon visage, je fais glisser son tanga sur le côté afin de découvrir son abricot gonflé encore du plaisir qu’elle avait eu. Elle s’était donnée à un autre, y avait pris du plaisir, cela m’excite tellement que j’y colle goulûment ma bouche et je me mets à lécher, à gober, à sucer passionnément ce ...