La Transition 08 - Histoires de Sexe

La Transition 08

Annie et Amaury se dirigeaient lentement vers l'arrêt d'autocar . Ils venaient de passer quasiment deux jours et deux nuits au lit à faire l'amour comme des possédés et en ressentaient encore les conséquences malgré les quelques heures de sommeil qu'ils avaient pu glaner après la fin de la Transition d'Annie. La jeune fille portait une ample jupe qui lui descendait jusqu'aux genoux pour camoufler l'absence de slip. Bien que son clitoris se soit rétracté par rapport au pic de sa Transition, il saillait encore tellement que le frottement d'un sous-vêtement la rendait encore à moitié folle de désir. Elle en avait fait l'expérience le matin même et avait dû demander à Amaury de la baiser en urgence pour calmer la vague de désir sauvage qui l'avait gagnée après avoir fait seulement quelque pas avec sa culotte à l'intérieur de la maison. Idem pour ses tétons qui étaient tellement sensibles et dardés qu'elle avait scotché de la ouate dessus pour les empêcher de frotter sur la vieille chemise canadienne de feu son père qui lui allait comme un sac mais avait néanmoins l'avantage d'être le seul vêtement qui ne lui comprimait pas la poitrine. Sa poitrine qui avait triplé de volume de volume durant les deux jours de sa Transition! C'était à cause d'elle qu'ils se rendaient à la ville pour qu'elle puisse refaire sa garde-robe. Même les soutiens et les chemisiers de sa sœur Joëlle auraient explosé si elle avait essayé de les mettre tant ses seins étaient maintenant imposants tout en ...

... gardant la fermeté de l'adolescence! La vue de ces deux obus émoustillait particulièrement Amaury qui avait eu les plus grandes peines du monde à ne pas remettre le couvert avant leur départ. Ils attendirent le car une dizaine de minutes et son regard ne quittait pas les mamelles de son amie qui soulevaient la chemise. Il avait une folle envie de l'entraîner dans les fourrés pour la sauter séance tenante et c'est avec soulagement qu'il vit arriver leur transport. Ils s'assirent tout à l'arrière pour se préserver un minimum d'intimité. Durant le voyage vers Provins, Annie voulut en savoir plus sur le Pouvoir et comment Amaury avait déjà utilisé son Influence sur la gent féminine. Après quelques minutes de récit, le garçon craqua à force d'évoquer ses conquêtes et toutes les turpitudes amoureuses auxquelles il s'était livré ou avait provoqué chez ses Influencées. Il en était arrivé à Ophélie-Blandine, l'ex-Soumise de Séverine et le souvenir de leurs agapes était trop brûlant. « Annie, je n'en peux plus, branle-moi ; j'ai besoin de jouir sinon je vais-je vais te sauter dessus. » « C'est comme ça tout le temps? « demanda-t'elle en s'exécutant. « Tu as besoin de jouir combien de fois par jour? » « Au minimum six-fois mais quand je suis nerveux, stressé ou excité, on dirait que je n'ai pas de limite! » Elle avait mis la veste du garçon sur ses genoux et le masturbait énergiquement par-dessous. « Hum ... je ne vaux pas mieux. Y a mon clito qui bande à nouveau ... Tu veux bien? » Amaury ...