Au pays du naturisme & Nos vacances en Allemagne
Datte: 08/08/2021,
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Se sont nos premières vacances. Sylvie mon épouse vient de fêter ses 21 ans, son corps est magnifique. Nous allons nous rendre au camp de naturistes de Crayan, dans le Médoc. Sa plage et ses pins nous apporteront, du moins nous le pensons, le calme souhaité après une année de travail à Paris. Dès notre arrivée, j’installe l’auvent de la caravane sur l’emplacement qui nous est réservé, vraiment spacieux et ombragé. Habitué, l’opération ne dure qu’une vingtaine de minutes. Il faut vous confier que Sylvie n’a jamais pratiqué le naturisme, je suis donc très surpris de la voir, après quelques instants, dans toute sa nudité. Ses cheveux mi-longs de couleur châtain foncé encadrent un doux visage aux yeux marrons. Ses lèvres appellent les baisers les plus tendres ou encore les plus passionnés. Sa poitrine est lourde mais ferme, sa taille fine mène à un ventre plat ou l’importante toison brune cache un trésor d’intimité. Ses longues jambes ne demandent qu’à être caressées. « Votre dame est une des plus belles femmes que j’ai photographiées » m’avait dit un professionnel de la photo d’art, lorsque je lui avais fait faire un tableau composé de deux photos d’elle, nue. Il était vraiment réussi grâce aux jeux d’ombres et de lumières, nous l’avons mis dans notre chambre. — Sylvie, tu n’es pas obligée d’être ainsi. Tu peux, si tu le désires rester vêtue.— Non, je veux être comme toi. Alors autant commencer maintenant. Nos journées étaient bien remplies, le matin nous faisions un peu de ...
... sport, puis une légère séance de bronzage sur la plage, l’après-midi était souvent consacré à la visite des alentours. Le soir, nous sortions peu afin d’être seuls. Autour de nous, les gens étaient de nationalités différentes : suisses, allemands et belges. Mais tous respectaient le calme qui régnait dans notre secteur. La caravane la plus proche de nous était occupée par un couple d’allemands ayant deux enfants. Je ne me souviens plus, aujourd’hui, comment nous sommes arrivés à partager nos soirées, puis à faire des sorties ensemble (visite du Pila et autres lieux), à partager des repas dont les moules (sans jeux de mots) étaient le principal plat, car ils ne connaissaient pas ces mollusques qui, arrosées d’un petit vin blanc frais, nous ravissaient. Enfin, toujours est-il que nous aimions, même si la conversation était des plus courtes car notre allemand scolaire avait été oublié, être souvent ensemble. Gunther avait un rire et un regard franc, cela me plaisait. Son épouse Annelise était un petit bout de femme qui menait son monde à la baguette. Elle était très jolie, mais dans le camp je ne l’ai jamais vue nue. Sylvie et Gunther nous laissaient le plus souvent seuls en soirée car, chacun de leur côté, ils allaient dormir. Nous parlions de choses et d’autres, refaisant le monde. Les vacances se terminaient pour Sylvie, il me restait quant à moi quelques jours que je passerai à Angoulême, ma ville natale. Avec nos nouveaux amis, il fut décidé qu’ils resteraient avec moi leur ...