Je suis une femelle salope 2 - Mon histoire
Datte: 08/08/2021,
Catégories:
Entre-nous,
Les hommes,
JE SUIS UNE FEMELLE SALOPE 2 – MON HISTOIRE Je me rappelle, il y a longtemps, en robe de chambre caché sous le bureau de mon père, m’être caressé le petit trou avec un doigt, me l’être introduit et l’avoir reniflé ensuite avec curiosité et délice. Ce fut mon premier attouchement anal. En vieillissant, je prenais de plus en plus de plaisir à me toucher l’anus et à m’introduire les objets les plus divers : règle, crayon, doigt bien sûr. J’aimais autant sentir un objet franchir la barrière d’entrée que le sentir dans mon ventre. Plus tard, lorsque je commençais à me caresser le sexe, cette pratique ne m’a pas quitté, bien au contraire, et je trouvais beaucoup plus agréable de me caresser le sexe avec quelque chose dans l’anus que sans. Ma première éjaculation eu lieu en me branlant simplement mais très vite j’ai accompagné mes branlettes de sodomie avec des objets plus gros qu’un simple crayon. Je ne connaissais pas l’existence des godes mais mon goût pour les légumes m’a vite conduit à les utiliser avant de les manger. Très timide avec les filles, je n’osais les aborder pour leur proposer un câlin et comme je me satisfaisais très bien tout seul, ma foi, tout allait pour le mieux. Pendant les vacances, nous habitions près d’une ancienne usine désaffectée et je pris très vite l’habitude d’y aller tous les jours me branler. J’aimais bien à l’époque m’introduire un morceau de bois poli enduit de moutarde comme lubrifiant. La sensation (légère) de brûlure plus l’intromission me ...
... donnait des jouissances très agréables. Le reste de l’année, je me caressais chez moi en rentrant de l’université. Un jour, j’ai découvert le plaisir des dessous féminins et me travestissais de temps en temps avec culotte, bas et chemise de nuit. Ainsi vêtu, je me branlais dans ma chambre. Ayant rendu visite à une voisine pour je ne sais quelle raison, je réussis à lui subtiliser une culotte sale ; la révélation, cette odeur, moi qui étais encore puceau. Lorsque j’ai commencé à travailler, l’argent ainsi gagné m’a permis de rencontrer des femmes malgré ma timidité, je veux dire des prostituées, mais pas pour baiser, pour me faire engoder avec généralement une belle courgette ou une belle aubergine. Je me rappelle par exemple que j’allais souvent voir une prostituée aux alentours de Rambouillet, nous nous rendions dans un petit bois, je me déculottais et elle me pénétrait pendant que je me branlais. Une autre variante était de me branler sur le levier de vitesses de ma voiture, une Simca 1100 pour les plus vieux lecteurs, dont le pommeau de levier était une boule assez large. Je me déshabillais dans un chemin peu fréquenté et je m’empalais dessus. Un après-midi, en sortant du travail, je pris une jolie blonde en stop dans Paris et assez facilement, elle accepta de me faire monter chez elle. Sitôt arrivé, je lui demandais si elle voudrait bien me sodomiser avec un gode mais avec un sourire, elle me répondit qu’elle avait mieux et exhiba une belle queue de sa culotte : j’étais tombé ...